Naturopathie : quel avenir pour les professions du bien-être ? 

Comme vous savez ces derniers temps (Janvier 2023) les métiers du bien-être ont été assez critiqués, avec plusieurs articles et reportages à charge sur la naturopathie et le jeûne.  Une opportunité dîtes-vous ? Oui c’est clair. Une opportunité de réforme : la naturopathie a besoin de clarifier son positionnement au yeux de l’État et du grand public.

  • Oui nous ne sommes pas médecins et oui nous faisons un travail que les médecins ne font pas pour autant et oui nous ne faisons pas le travail que les médecins font et encore moins les chirurgiens. 

Une personne ressort  en ce moment, et est en lumière du côté des naturopathes c’est Alexandra ATTALAUZITI. Elle a pu intervenir en réponse à certains articles.

Par chance Léa Mispoulet, fondatrice de Copleni, agence qui accompagne les professionnels du bien-être (faite appel à elle, elle est super), a interviewé Alexandra dans son podcast Wellness Impact.

Pour toi qui souhaite connaître l’actualité de ce dossier de la “réforme de la naturopathie” cet entretien va t’éclairer plus qu’un peu. J’ai pris des notes de cet entretien et j’en ai fait un article pour ceux qui préfèrent la version écrite. 

Contact : retrouvez Léa Mispoulet, accompagnatrice de professionnels du bien-être et Alexandra ATTALAUZITI sur Linkedin.

Questions posées pendant cet entretien :
  • Qu’est-ce que tu penses de l’évolution du marché de la formation des métiers du bien-être Alexandra? 
  • Tu est aussi présidente du SPN en parlant de formation dans ces métiers. Quelles sont tes autres casquettes ?
  • Avec la chambre des métiers et le SPN, à quoi ressemble ton quotidien ? 
  • Comment développer efficacement son activité ? 
  • Pourquoi ça ne bouge pas assez selon toi ? 
  • Qu’est-ce que tu dirais aujourd’hui à quelqu’un qui veut lancer son école de naturopathie ? 
  • “Les professionnels du bien-être ne sont pas reconnus”, son avis sur cette idée reçue. 
  • Crois tu à la reconnaissance via un diplôme ? 
  • Qu’est-ce que tu penses de la suite ? De l’avenir des naturopathes ? Qu’est-ce que tu penses de l’avenir ? 
  • Que dire aux praticiens qui ne sont plus sur Doctolib ? Tes meilleurs conseils Alexandra 
  • Qu’est-ce que tu penses de la concurrence ? 
  • As-tu des ouvrages à conseiller ?

Léa Mispoulet, fondatrice de Copleni, interview Alexandra ATTALAUZITI présidente du SPN Syndicat des Pros de la Naturopathie, directrice générale de ADNR Formations, présidente de la Branche des métiers du Bien être au sein de la CNPL. 

Alexandra ATTALAUZITI. Professionnelle de l’accompagnement.
Elle a un parcours riche. 45 ans, maman de 5 enfants pour sa vie privée et :  

  • elle a fait sport étude au lycée, 
  • puis commence une école d’infirmière pendant 2 ans, interrompue suite à un Guillain Barré malheureusement. 
  • A la suite de cela elle se forme à l’ostéopathie fluidique et la naturopathie et suit une formation d’assistante stomatologue pour gagner sa vie ! Installée en cabinet à Paris dans les années 2000 elle a pratiqué pendant plusieurs années surtout pour les maladies auto-immunes et le sport. 
  • Depuis 15 ans elle est à la tête de son centre de formation, ADNR formation à laquelle elle se consacre désormais à plein temps pour transmettre ses connaissances. Elle forme d’abord des professionnels soignants puis maintenant des particuliers aussi. 
  • Elle est aussi présidente du SPN, le Syndicat des Pros de la Naturopathie, un des principal syndicat des naturopathes (il y a également “la FENA” et l’OMNES).
  • Elle est présidente de la Branche des métiers du Bien être au sein de la CNPL


Qu’est-ce que tu penses de l’évolution du marché de la formation des métiers du bien-être Alexandra?

Recontextualisons : il y a de plus en plus d’usagers des techniques naturelles, de plus en plus de demandes. Les gens ont envie de prendre du temps pour eux. Et donc il y  de plus en plus de professionnels de santé c’est normal pour répondre à cette demande.

La où c’est dommage : c’est qu’il y a une lenteur dans la structuration de la formation de nos métiers. Cela fait des années que je demande qu’il y ait beaucoup de reconnaissance.

En témoignent les polémiques récentes : il y a des vrais professionnels qui pratiquent à côté de personnes amateures ayant été formé avec un niveau de formation trop léger. La priorité est de faire en sorte que les gens se sentent bien.

Je (Alexandra) suis inquiète de voir cela alors qu’intimement persuadé qu’on peut organiser rapidement la formation. 

Léa : tu est aussi présidente du SPN en parlant de formation dans ces métiers. Quelles sont tes autres casquettes ? 

  • Je suis  présidente du SPN, le Syndicat des Pros de la Naturopathie, un des principal syndicat des naturopathes (il y a également “la FENA” et l’OMNES).
  • Depuis 18 mois, je suis à la tête de la Branche des métiers du Bien être au sein de la CNPL, chambre nationale des professions libérales.
  • Je suis en charge de l’organisation des métiers du bien-être
  • Il y a 14 syndicats du bien-être dans notre branche. 
  • Élu au bureau de professions libérales. 
  • Ce qui donne la chance d’écrire de nombreux messages au ministère avec un message : 

“Nous sommes compétents dans l’ensemble et pouvons apporter un réel service mais effectivement il y a aussi des personnes dans nos métiers qui ne le sont pas”.

Léa : avec la chambre des métiers et le SPN, à quoi ressemble ton quotidien ? 

Le quotidien pour agir c’est : 

  • informer régulièrement les usagers
  • Prouver qu’on a une réelle audience : 7 personnes sur 10 connaissent la naturopathie et 3 personnes sur 10 reconnaissent qu’elles peuvent avoir plus d’informations. 
  • Rédiger des courriers : mettre le pied dans la porte à l’Urssaf, la caisse de retraite, l’UNCAM. Cela pour prouver que nous pouvons travailler avec des professionnels soignants et que nous maîtrisons les limites de la profession. 
  • Ca fait 6 ans et ça bouge peu. 
  • Il faut que nous communiquions sur les réseaux sociaux et autres. 
  • Le gros avantage : nous avons beaucoup parlé de nous, c’est un avantage. Certains professionnels du bien-être sortent du lot parce qu’ils se sont bougé. 
  • A l’époque il suffisait de faire le tour des médecins et des professionnels de santé et l’agenda était rempli. 

Léa : pourquoi ça ne bouge pas assez selon toi ?

  • Je pense que nous ne sommes pas assez nombreux à dire la même chose. 
  • On doit avoir un discours clair auprès des pouvoirs publics : nous ne voulons pas faire de la santé mais accompagner en complément du corps médical. 
  • Nous sommes là pour accompagner le client. 
  • Il faut avoir le même discours.Il faut que d’une seule voix on parle !
  • On laisse faire croire qu’on ne s’entend pas bien. Alors que cela se passe bien avec les autres syndicats (Fena, Omnes, et autres). 
  • Nos ministres et députés ne connaissent pas bien nos métiers. C’est important d’expliquer.

On change de sujet tout en restant dans la thématique.

Qu’est-ce que tu dirais aujourd’hui à quelqu’un qui veut lancer son école de naturopathie ?

Attention : un égard serait de lancer une école pour lancer une école et le gain financier que cela peut représenter. C’est la mauvaise voix. Pourquoi ? Parce que les étudiants peuvent arriver avec un niveau déjà bon dans la naturopathie. 

Qui plus est un centre de formation est une ingénierie administrative. Il y a des exigences de qualité importantes à l’heure actuelle. 10 salariés en quatre ans pour amortir la demande d’ingénierie qualité. C’est beaucoup de travail pour la formation professionnelle.

Si c’est pour de la formation aux particuliers c’est plus simple mais on ne peut avoir accès au CPF ou autre prise en charge. 

Léa : J’aimerais qu’on parle d’une idée reçue, “les professionnels du bien-être ne sont pas reconnus”

  • C’est une idée reçue effectivement. Nous avons un code APE. 
  • L’Insee nous reconnaît, la cotisation à l’Urssaf est possible, à la cipav : caisse de retraite.  
  • et en même temps la formation n’est pas diplômante. 

La formation n’étant pas reconnue, n’importe qui peut s’installer en tant que naturopathe. La seule chose imposée depuis 2017 : dire que nous sommes autodidacte au client (si c’est le cas). Ce qui est déjà un pas en avant.

Nous sommes reconnus mais la formation n’est pas encore diplômante.
Les certificats sortent des écoles et non du ministère du travail. A l’heure actuelle nous n’avons pas de titre RNCP.

Et tu y crois à la reconnaissance via un diplôme ?

Oui. Il est impératif et urgent de donner un titre RNCP à plusieurs centres de formations pour rapidement faire le tri entre les centres reconnus et les autres. Je suis positive, les ostéopathes ont fait ça très vite. Mais c’est possible !  

Par exemple par la ministre Grégoire, ministre des TPE PME ; les inspecteurs de France compétences, ils y a 50 demandes de diplôme depuis des années. 


Léa : qu’est-ce que tu penses de la suite, de l’avenir des naturopathes ? Qu’est-ce que tu penses de l’avenir ?

Je salue les médias qui disent des bêtises sur la naturopathie parce qu’ils m’invitent aussi pour que je puisse dire que nous faisons du bon boulot. 

A propos de Doctolib : c’est une opportunité également pour les autres de se structurer. Les clients iront chercher les praticiens sur d’autres plateformes. 

Les pharmaciens nous font de plus en plus confiance et c’est aussi visible sur l’augmentation des ventes de produits complémentaires. 

Le job que nous avons à faire : prouver la compétence et là est la difficulté. Si on avait un titre RNCP ce serait simple. Diplôme = bon ; sans diplôme : plus compliqué de savoir. A l’heure actuelle “la confiance” se fait via les avis sur ces plateformes. 
Les usagers doivent poser des questions. 

Léa : que dire aux praticiens qui ne sont plus sur Doctolib ? Tes meilleurs conseils Alexandra.  

  • Varier : déjà être sur plusieurs plateformes. Le SPN est partenaire de plusieurs plateformes. Et en même temps cela ne suffit pas.  
  • Il faut pouvoir rencontrer des professionnels de santé autour de soi, organiser des 
  • Organiser des conférences gratuites, intervenir auprès de club du 3ème âge. 
  • = se bouger ; innover ; aller de l’avant. 
  • Il faut être qui on est. Et ce qui nous correspond. 
  • Gratuit : mieux vaut faire des conférences gratuites plutôt qu’aller sur Netflix.
    En clair donner d’abord. 
  • Il faut se bouger et parler de vos techniques, à tout le monde, partout ! 

Qu’est-ce que tu penses de la concurrence ? 

Sans avoir fait d’école, je dirais que la concurrence est bonne ! 
La compétition permet de se stimuler. Parler de ses confrères plutôt que des concurrents ! C’est bien qu’il y ait un nouveau réflexologue dans le village.
En pratique : c’est aussi positif, exemple si on est enceinte.

As-tu des ouvrages à conseiller ? 

Pour les naturos je vous encourage à passer du temps sur des publications scientifiques, sur les études cliniques.

“L’avenir est pour nous, il ne faut pas douter !”
“Vous êtes des entrepreneurs, sortez vous les doigts, ça va bien se passer !”
Tout est dit.

Le commentaire de Baptiste en deux mots 

  • Regardez bien les conseils ci- dessus, ça vaut le détour ! 
  • Oui, il faut un diplôme pour la naturopathie et les métiers du bien-être.  
  • Voir même un label. 

Jeûne : le docteur Jacques Rouillier est l’invité de RTL Midi

Le Docteur Jacques Rouillier était l’invité de RTL Midi avec Céline Landreau et Pascal Praud le 20 janvier 2023 pour répondre à leurs questions sur le jeûne.

Retrouvez l’interview de 7 min 25 sur : https://www.rtl.fr/programmes/les-invites-de-rtl/7900227310-jeune-le-docteur-jacques-rouillier-est-l-invite-de-rtl-midi

Qui est Jacques Rouillier (dr.) ? Le docteur Rouillier est un membre fondateur de l’académie médicale du Jeûne (AMJ), un collectif de médecins et professionnels de la santé. Elle est partenaire de la Fédération francophone de jeûne et randonnée (FFJR).

Intéressant d’entendre cette voie que peu connaissent encore, c’est à dire celle de médecins et autres professionnels de santé formés au jeûne et son utilisation thérapeutique.

L’AMJ à des objectifs repris dans sa charte :

  • Informer les médecins sur le jeûne, sa physiologie, ses bénéfices, ses contre-indications
  • Fédérer les médecins intéressés par la pratique du jeûne, la prescription et l’utilisation du jeûne auprès de leurs patients
  • Favoriser les échanges sur les expériences et les connaissances médicales du jeûne
  • Former les médecins à l’accompagnement médical des patients jeûneurs
  • Constituer un réseau de médecins référents pour la surveillance et l’accompagnement médical du jeûne auprès des Centres de la FFJR
  • Faire reconnaître et promouvoir l’utilisation du jeûne comme moyen thérapeutique
  • Représenter les médecins spécialistes du jeûne auprès des institutions
  • Établir et diffuser une veille documentaire sur les études scientifiques ou cliniques concernant le jeûne et la nutrition.


Et des valeurs communes reprises dans la charte également :

  • Promotion d’un moyen thérapeutique simple, efficace et peu coûteux
  • Rigueur dans la diffusion d’informations validées
  • Echanges d’expériences et de connaissances médicales
  • Collaboration avec les compétences du réseau de la FFJR
  • Indépendance vis-à-vis de l’industrie de la santé (Laboratoires, Cosmétologie, Nutrition, etc).

FROID ET CHAPKA

Froid et Chapka.

Se couvrir la tête en hiver et particulièrement quand il fait très froid !
Il a fait très froid récemment et j’ai pu observé les têtes. Une bonne moitié non couverte.

Certains connaissent ce simple moyen d’avoir plus chaud et de mieux supporter le froid polaire. En leur demandant pourquoi, ils vous répondront : « parce qu’on pert de la chaleur par la tête ».

Cette réponse à elle seule peut suffire, et vous d’en profiter pour dispenser ce précieux conseils à vos amis et entourage. A savoir : à lui seul le crâne évacue 30% de la chaleur corporelle. Hors si la tête se refroidit c’est l’ensemble du corps qui se refroidit. (source). Et bien figurez-vous qu’il s’agit aussi d’aider le cerveau à thermoréguler l’ensemble du corps. En clair c’est à la fois pour éviter la perte de chaleur et pour permettre au cerveau d’avoir le bon thermostat.

Et pour ça, on les appellera :

  • Bonnet
  • Chapka
  • Toque
  • Châpeau
  • Couvre-chef

Autres conseils pour bien gérer l’exposition au froid

  • boire des boissons chaudes. L’eau chaude par exemple est une boisson ayant seulement des avantages.
  • Se couvrir bien sûr : les extrémités en priorité. 30 autres % sont perdus par le couple pieds mains.
  • L’alcool : n’a pas d’utilité réelle pour lutter contre le froid.
  • Bouger : le mouvement, conseil évident, permet de faire circuler le sang et la lymphe dans tout l’organisme. et d’activer la production d’énergie cellulaire dans les mitochondries.
  • Et se couvrir la tête : très important.

Sources

  • https://www.runner-life.com/2014/12/il-fait-froid-couvrer-votre-tete.html#:~:text=En%20revanche%20il%20y%20a,du%20corps%20qui%20se%20refroidit.
  • https://www.francetvinfo.fr/meteo/climat/eviter-la-deperdition-de-chaleur-se-couvrir-la-tete-ne-pas-boire-d-alcool-les-conseils-pour-ne-pas-souffrir-du-grand-froid_2596024.html

Nutrition : les différentes approches

Beaucoup de gens se posent des questions sur la nutrition. En fait c’est un vaste domaine.
Le but est de montrer ici les différentes « écoles » qui existent.

Une chose importante à comprendre en amont : certains souhaiteraient un régime unique pour tout le monde. Or la nature est diversité. Par expérience nous savons que l’envie du régime unique est vaine.

Sans tomber dans le « il y a autant de régimes que d’êtres humains, qui serait l’autre extrême ; il existe des possibilités de personnaliser son alimentation : par exemple via la connaissance de ses intolérances alimentaires, et via son groupe sanguin. Voilà deux pistes qui donne déjà une bonne base.

Le reste étant une connaissance de l’alimentation simple basée sur la science qui nous permet de consommer des aliments sains pour notre santé, faisant bien vivre nos cellules (y compris la microflore).

  • La diététique « classique » : focalisée sur les quantités des différentes catégories biochimiques de macronutriments que sont les glucides, les protéines et les lipides.
    En pratique on s’intéresse à l’assiette en regardant le nombre de calories que l’on a pour chaque catégories.
  • la micronutrition : on regarde les quantités de micro-nutriments.
  • les intolérances alimentaires ou immuno- nutrition : grâce à des tests d’intolérances alimentaires si besoin, on essaie de mettre dans l’assiette des produits auxquels la personne est tolérante. Les intolérances sont le fait de ne pas digérer un produit (intolérance au lactose par exemple) ou qu’il crée de l’inflammation dans l’intestin (on peut alors mesurer les anticorps contre ces produits en excès dans le sang).
  • La macrobiotique : inspiré de traditions culinaires asiatiques et popularisée par George Oshawa, dans son livre Le Zen macrobiotique ou l’art du rajeunissement et de la longévité.
  • Le régime Seignalet : issu des recherches du Dr Jean Seignalet, immunologiste.
    lui – même inspiré du régime Kousmine.
  • Le régime crétois ou méditerranéen.
  • Le régime « Groupes Sanguins » : ce régime, personnalisé, est basé sur notre groupe sanguin. Il est mis en avant par un docteur en naturopathie américain : Peter d’Adamo. De quoi s’agit t’il ? Du fait que notre groupe sanguin régit plus ou moins favorablement à certains aliments. Pour faire dans les grandes lignes : pour le groupe 0, la viande rouge est recommandée (1 à 3 fois / semaine), le groupe A est plutôt à tendance végétarienne, le groupe B : seul groupe pouvant consommer des laitages et y trouver un bienfait.
    Plus d’informations dans le livre de d’Adamo.
  • Le régime cétogène : un régime riche en légumes, graisses et protéines, consistant à manger le minimum de glucides pour être en état de cétose.
  • Le régime Paléo .
    Et il y en a bien d’autres.

    Nous ne parlons pas ici de régimes n’ayant pas de validité du point de vue de la santé sur le long terme, comme le régime Dukan ou autres.

Château de Franc La Fleur – Séjour de Jeûne Toussaint, promotion Automne

Baptiste Barennes
Naturopathie & Séjours de jeûne
jeunenaturesante.com
06.08.67.57.99
mail : baptiste@jeunenaturesante.com

Chers Amis,
Deux nouvelles que je souhaite vous partager !

Pour fêter le passage à l’automne, je fais une promotion de 30% sur le prix du prochain séjour au Château de Franc La Fleur, à Castillon La Bataille, pour les places restantes. Pourquoi cela ? Parce que l’automne est une saison de transition, un moment propice pour jeûner et se retrouver, méditer sur l’été passé, l’année qui commence…le tout dans un endroit calme, jouissant d’un parc floral enchanteur.

  • Le prix de base du séjour est de 500 €, il passe à 360€ ttc.
  • La majoration de la chambre (de 0 à 150€ à la base) passe elle aussi de 0 à 100€. Cette majoraton existe car les chambres ne sont pas les mêmes..Ceci pour ne pas faire de jaloux(ses)… Il y a 5 chambres : pour les informations à ce sujet, voir sur cette page du site

Bien à vous, 
Baptiste

UN VACCIN POUR LE COVID ?

Baptiste Barennes
Naturopathie & Séjours de jeûne
jeunenaturesante.com
06.08.67.57.99
mail : baptiste@jeunenaturesante.com

Chers amis,

  J’espère que vous allez bien depuis la semaine dernière. 

La semaine dernière la lettre finissait avec ceci : 
« Certains croient que la vaccination est LA seule façon pour se protéger du COVID en ce moment et pour la suite, d’autres y sont farouchement opposé, y voyant un moyen de nous injecter une micropuce »

La situation & la problématique

On est à la fin de l’épidémie COVID et maintenant beaucoup se demandent ce qu’il va se passer en terme de santé publique ?!.Pour l’instant il y a les gestes barrières et les masques dans les transports.
L’épidémie est maintenant quasiment finie en terme de nombre de cas. 
Dans les coins on parle de vaccin…

Pendant le confinement un débat est apparu, sous-tendu par de nombreuses informations qui l’alimentent. 
Un vaccin contre le COVID est en préparation. Il faut savoir que 115 entreprises ou groupes travaillent sur le sujet dont plusieurs sont déjà en phase 1 (la première phase de test du vaccin sur les humains). 
La Fondation Gates qui fait tant parler d’elle a un rôle en agissant au niveau du financement. La fondation subventionne massivement l’OMS et GAVI : l’Alliance Globale pour la Vaccination. C’est ensuite par ce biais que les fonds sont redistribués.

Et oui les gens souhaitent s’immuniser.
Ce que croient les gens à ce niveau : un vaccin pourrait nous sauver !
Ah bon ? Et bien voyons comment c’est possible (ou pas…) et essayons de savoir si il faut se faire vacciner contre le COVID ?!. 

A quoi sert la vaccination ? 
La vaccination a un seul rôle : celui de stimuler le système immunitaire une première fois en amont d’une infection. La réponse du système immunitaire est la création d’anti-corps spécifiques de la maladie dont on souhaite être ‘immunisé’. Le corps garde une mémoire (les lymphocytes B mémoire) spécifique de l’antigène. Quand on est de nouveau en contact avec le pathogène : la production d’anti-corps est plus rapide et donc théoriquement la réponse immunitaire est meilleure.
C’est bien théorique dans un certain nombre de cas voyons pourquoi !. 

Dans le système immunitaire il y a deux réponses possibles : l’immunité innée et l’immunité adaptative.  

L’Immunité innée

Qu’est-ce que l’immunité innée ?

  • On la reçoit à la naissance
  • C’est une réponse immédiate.

Ce sont :

  • les barrières naturelles : les muqueuses, la microflore, la peau
  • le système du complément (un système de molécules dans le sang),
  • des cellules phagocytaires (qui ingèrent l’intru. Les macrophages par exemple)  
  • et des cellules tueuses naturelles.  
  • Elle n’a pas de mémoire immunologique.
  • Normalement ce système est à lui seul efficace.
  • Lors d’une infection : dans les premières heures c’est d’abord cette immunité qui est activée.

L’immunité acquise (ou adaptative)

  • Cette immunité est spécifique de l’antigène.
  • Elle fait intervenir les lymphocytes T et B qui sont d’autres cellules immunitaires. Le mécanisme de base est celui-ci : l’antigène est présenté aux lymphocytes T qui activent les lymphocytes B, qui produisent des anti-corps. Ces anti-corps sont l’immunité humorale. 
    Certaines cellules sont aussi capables d’éliminer le pathogène, c’est l’immunité cellulaire. 
  • Le vaccin agit sur cette immunité et non sur l’immunité innée.

Pourquoi la vaccination n’est pas la seule solution bien au contraire ? Déjà l’idée de base dans le vaccin est celle de stimuler l’immunité adaptative seulement.  Or est-ce vraiment une approche satisfaisante à notre époque ?. C’est aussi une question qu’on peut se poser..

Il y a un mode de vie qui permet de stimuler l’immunité innée. 

  • Avoir une alimentation qui respecte la (les) muqueuse(s) et les micro-flores.

Pour cela éviter les produits inflammatoires. Ce sont des produits alimentaires qui créent une réaction inflammatoire dans la muqueuse intestinale voire génère un intestin perméable.  
Dans le domaine de la microflore…on ne connaissait jusqu’à présent que peu de choses. En fait il apparaît que cette microflore joue un rôle protecteur très intense.

  • Une alimentation riche en micro-nutriments : le zinc, vitamine C, vitamine D, oméga-3.
  • Vivre en bonne santé mentale, émotionnelle, relationnelle. 

La questions des effets secondaires 
Un aspect de la vaccination est celui des effets secondaires.
Saviez-vous qu’on vous injecte des antigènes et des adjuvants ? 
Les adjuvants sont des molécules comme l’aluminium. Cet aluminium permet de créer une surréaction du système immunitaire qui amplifie la réponse au pathogène. Il y a une autre raison à cela : garantir la stabilité du vaccin à moindre coût.

Mais le corps a t’il été crée pour qu’on injecte de l’aluminium dans le sang?

Chez certaines personnes ces adjuvants peuvent créer des sur-réactions graves du système immunitaire. 
Il a des adjuvants dans les vaccins du COVID en développement. C’est une information disponible ici.

Les effets secondaires
C’est un peu le mythe de la vaccination : l’idée qu’on ne risque rien en se faisant vacciner…
La vérité semble être tout autre. En fait il y a là un flou…
Il y a peu de remontées sur le sujet, et avant une vaccination les personnes ont peu d’informations sur les risques (qui est vraiment ‘éclairé et consentant’ ?). 

Aux Etats-Unis. 
Aux Etats-Unis il y a un tribunal des vaccins. En 2019, 4,2 Milliards de dollars ont été versés en indemnités aux ‘victimes’ des vaccins.  

Est-ce que les vaccins modernes sont si utiles que ça ?
Le Pr Raoult (DR) a donné son avis sur le sujet, en étant interviewé la semaine dernière par Guillaume Durand (GD) sur Radio Classique. C’est ici. 

GD : Sur la société Moderna, qui aurait commencé à tester un vaccin qui produirait des anti-corps. Est-ce que vous pensez que c’est une piste sérieuse ?
DR : Je pense que l’ignorance domine beaucoup le monde. Il faut avoir un peu plus de savoir.
GD : Que les labos travaillent sur les vaccins c’est quand même normal non ?DR : je vous conseille d’aller sur le site de l’OMS et de regarder les vaccins qui sont ‘available’. Et si vous voyez des vaccins qui ont répondu à des maladies émergentes depuis 30 ans et bien vous me rappellerez…

Les sources 

La semaine prochaine  
On parle naturopathie et jeûne, et oui c’est mon activité quand même !. Je vous souhaite un bonne semaine SMS (soleil, massage, sommeil).  

A plus tard, 
Baptiste 

La CHLOROQUINE et le ZINC + Le JEÛNE INTERMITTENT comme prévention au COVID

Baptiste Barennes
Naturopathie & Séjours de jeûne
jeunenaturesante.com
06.08.67.57.99
mail : baptiste@jeunenaturesante.com

 Chers amis, 

  J’espère que vous allez bien depuis la semaine dernière. Le déconfinement a commencé il y a deux semaines mais il y a un mais… c’est un déconfinement partiel. On a notamment le plaisir du masque dans les transports, de la distanciation et puis les gens se posent des questions 
Comment vraiment se protéger du COVID ? Comment va évoluer notre société ? 

Les informations qu’on reçoit sont souvent contradictoires. 

Ca a été le cas pour la chloroquine, le confinement, c’est maintenant le cas pour les masques, et puis la suite des évenements. 

Les gens peuvent être complètement perdus, on le voit bien. Par exemple beaucoup portent le masque même dans la rue, alors qu’on ne leur avait pas demandé ! ​  

L’idée c’est toujours la même.
Vous savez de quoi je parle ? On peut entretenir notre système immunitaire. En faisant des choses simples au quotidien on influe positivement dessus.

​Ce discours j’aimerais qu’on nous le tienne plus.
Vous pouvez me dire ce que vous en pensez en réponse (mail ci-dessus).

La semaine dernière on parlait du rôle du Zinc dans la perte du goût. 
Pour revoir la lettre c’est ici.
Aujourd’hui on signe en montrant qu’un des rôles de la chloroquine est d’apporter le Zinc dans les cellules. Le Zinc peut alors jouer son rôle antivirial. Le statut en Zinc est de nouveau essentiel. 
Et comment faire pour diminuer l’inflammation facilement ?
On peut pratiquer le jeûne intermittent

Le ZINC et la CHLOROQUINE 

Est-ce que l’association du zinc et de la chloroquine peut-être un traitement pour le coronavirus ?
Le zinc inhibe la replication virale. Ceci a été montré dans une étude : L’augmentation de la concentration de Zinc intracellulaire inhibe l’ARN polymerase (une protéine impliquée dans la réplication virale) et d’autres protéines. Cela montre que le statut en zinc est essentiel.   En parallèle figurez-vous qu’on sait déjà depuis 2014… que la chloroquine est un ionophore du zinc (un ionophore = une molécule qui permet à un ion de rentrer dans les cellules). La chloroquine fait augmenter le Zinc dans les cellules et donc..diminuer la charge virale. 

Certains ont d’ores et déjà mis en place l’utilisation du Zinc par voie orale comme traitement du COVID-19. 

Vous pouvez en parler aux personnes âgées, à risque (diabète, hypertension, bronchite chronique, obésité) ou même souhaitant se renforcer. Pour être bien Zingué : prendre une complémentation ou alors avoir une alimentation assez riche en Zinc. Pour revoir la lettre de la semaine dernière c’est ici

LE JEÛNE INTERMITTENT comme moyen de prévention du COVID. 

L’espoir fait vivre…et vient de l’Orient : du Bangladesh (ils ont aussi des scientifiques, clin d’œil aux consommateurs H&M) et de Corée (du Sud).

Si simplement d’avoir un temps de jeûne de 16h par jour était un moyen de prévention ?
Ca vous paraît simpliste ?  Et bien c’est ce qu’affirme en toute humilité les scientifiques dans cet article.

Voici pourquoi : 

  • Le jeûne intermittent est une situation dans laquelle l’autophagie est activée
  • L’autophagie : derrière ce nom étrange…un processus de recyclage des déchets cellulaires qui accélère la dégradation intracellulaire des virus.
  • Le jeûne en parallèle de ce processus réduit l’inflammation de façon chronique.Ce qui est très utile notamment en cas d’obésité, d’asthme, d’arthrite rhumatoïde (certains facteurs de risque du Covid..)
  • Pour faire simple : jeûner 16h par jour (ce qui laisse 8h pour 2 bons repas), permet au corps d’augmenter son immunité contre le COVID et de diminuer son inflammation de façon chronique.

Trump
Vous avez dû apprendre il y a quelque jour que Trump prenait de la chloroquine de façon préventive….Et bien figurez-vous qu’il pratique aussi le jeûne intermittent de façon naturelle depuis des années. Voilà pour l’anecdote. 

Les sources

Vous avez le droit (inaliénable) aux sources de ce que vous avez lu au  dessus. 

Le zinc intracellulaire et la replication virale 

Sur la Chloroquine et son effet ionophore du Zinc

  Sur le jeûne intermittent comme facteur de prévention 

Va t’il falloir se faire vacciner ?

Certains croient que c’est LA seule façon pour se protéger du COVID en ce moment et pour la suite, d’autres y sont farouchement opposé, y voyant un moyen de nous injecter une micropuce. On en parle (entre autre) dans quelques jours, notamment suite à une intervention du Pr Raoult sur le sujet.  

A la semaine prochaine,
Baptiste

ZINC – J’ai perdu le goût… Est-ce que je peux le retrouver avec une complémentation en zinc ?

On le sait,  beaucoup d’entre nous ont perdu le goût pendant le COVID-19. 
Un jour on se lève puis arrive le déjeuner. On trempe la fourchette dans une gouteuse purée et la stupeur est totale…la purée n’a aucun goût ! C’était pourtant aromatisé…(une histoire renversante).  

La perte du goût est un des symptômes du Covid. 

A quoi est-ce dû ? 
En dehors du Covid la perte de goût est généralement médicamenteuse. 
Une longue liste de médicaments provoque çela, c’est bien connu dans le monde médical. 

Le zinc est un cofacteur de la gustine, une protéine du goût située dans les papilles gustatives. La carence en Zinc peut provoquer la perte de goût.

Dans le cas du COVID. 
Le zinc est utilisé pendant la réaction immunitaire. C’est un immunostimulant de l’immunité acquise et innée, il participe notamment à la maturation des lymphocytes. C’est pourquoi pendant que le corps jugule le virus, la quantité de zinc disponible s’épuise. Le corps n’a pas de stockage de zinc. Et on se retrouve en carence.  

Où trouve t’on le Zinc dans l’alimentation ?  

La réponse est donnée sur le site Lanutrition.fr, dans l’outil de recherche “Les aliments à la loupe”

Résultats de la recherche, ‘le plus de Zinc’ :

  • Huîtres
  • Foie de Boeuf (normalement c’est « foie de veau » mais entre nous ça a fini par me dégoûter l’idée de manger un veau, je ne sais pas vous ?. Dans tous les cas à consommer BIO, le Foie étant un organe d’épuration. La qualité de vie de l’animal est primordiale qui plus est dans le cas du Foie). 
  • Graines de Pavot
  • Shiitaké séché
  • Graine de courge rôtie
  • Langouste
  • Cacao en poudre
  • Le persil

En complément alimentaire

Le zinc existe en complément alimentaire en magasin bio et parapharmacie. 
Les besoins journaliers recommandés sont de 9 à 12 mg par jour. Vous pouvez aller au delà (jusqu’à 30 mg) pendant une cure de 3 semaines. Les compléments proposent un dosage plus élévé (30 mg) mais une partie n’est pas absorbé par l’intestin.  

Si vous avez la perte de goût en ce moment. 
Je vous conseille de prendre directement une complémentation ainsi que des aliments bénéfiques riches en zinc (voir ci-dessus). 

Si vous avez eu la perte de goût pendant le COVID. 
Je vous conseille également de prendre une complémentation dès maintenant. Vous trouverez le zinc en complément en magasin Bio et parapharmacie. Une cure de 3 semaines est bien.


Le zinc est essentiel pour votre immunité dans tous les cas. Par exemple sachez que le statut en zinc détermine l’efficacité de la chloroquine. Cette molécule agit beaucoup moins chez une personne carencée en zinc. La chloroquine à notamment la fonction d’apporter le zinc dans les cellules. Le zinc est antiviral c’est là son effet essentiel à l’heure actuelle (COVID). 

Cependant…
Pour la suite de la vie le quotidien « doit » normalement combler vos besoins en zinc grâce à une alimentation équilibrée et diversifiée. Mais si vous souhaitez apporter un nutriment essentiel au système immunitaire en période de fragilité c’est le zinc ! D’ailleurs on dit souvent  « se faire dezinguez.. » quand c’est pas bon signe, donc on peut aussi se zinguer. Je vous laisse sur cette méditation philosophique… 

Les sources 
Vous avez bien sûr le droit aux sources de ce que vous avez lu au  dessus.

A plus tard,
Baptiste

Immunité

Le coronavirus : “On est en guerre” et oui mais quelle sont nos armes alors pour gagner, et avec quelles troupes ?

Qu’est-ce qu’on craint finalement ?  Et bien que les personnes fragiles  soient touchées, c’est le maître mot. Avec ce qui peux s’ensuivre : la détresse respiratoire.
Par rapport à cela  il y a d’abord eu les premières mesures (écoles, restaurants) mais ça n’a pas été suffisant.. La réponse actuelle c’est le confinement 

Mais on parle de quoi en fait ? On parle de protéger les personnes fragiles par le confinement des personnes qui pourraient leur transmettre. 

On le sait et Emmanuel Macron l’a dit : la majorité des personnes atteintes n’ont pas ou peu de symptômes !
99% des morts du Coronavirus en Italie avaient une ou plusieurs maladies (48,5% en avaient 3 ou plus) : Hypertension, diabète, cardiopathie ischémique, maladie cardiaque).
Voir l’article : http://jeunenaturesante.com/wp-content/uploads/2020/04/Coronavirus-_-quel-est-le-profil-moyen-des-victimes-en-Italie-www.cnews_.fr_.pdf

Par ailleurs, ce qui est en jeu c’est l’immunité des personnes !
Et qu’on a du pouvoir dessus . Tous ce qu’on peut apprendre sur l’immunité… peut nous servir toute la vie

De nombreux auteurs en parle sur le web : En voici quelques uns.

  • Thierry Casasnovas
  • Dr Stéphane Résimont
  • Pr Henri Joyeux
  • Anthony Berthou
  • Bruno Lacroix
  • Et tellement d’autres…
  • Il y a aussi des informations venant des mes 3 années de médecine et des 2 années de naturopathie (Prof Brigitte M.F, ou autres) et d’autres sources.

Sont rassemblées des informations, présentées le plus pratiquement possible.
On parle :

  • de l’esprit (des relations, des pensées, de l’importance d’une vie zen)
  • de l’alimentation quotidienne, essentielle bien-sûr : les bonnes habitudes
  • faut t’il se complémenter et de quoi ? On se pose souvent la question.
  • bien associer les aliments : réflexes simples.

Comment on entretient son immunité ?

On a : 

  • le volet psycho – socio – émotionnel
  • le volet physique 

Les deux sont liés.

On parle ici de règles communes. Pour l’alimentation chacun a sa propre sensibilité aux choses (par exemple en matière d’intolérances). Il est important d’adapter ces informations avec son expérience propre et son ressenti personnel.

Psycho -socio – émotionnel

On sait que la psychologie est essentiel dans le maintien de l’immunité.
C’est le cas pour le stress et l’importance des relations sociales.

  • Un article de l’Inserm paru récemment en parle

Entre un groupe de souris non stressées et un groupe de souris stressées, lors d’une infection par le cytomégalovirus MCMV, le taux de mortalité des souris « stressées » s’est alors avéré bien supérieur à celui des souris non traitées (90 % contre 50 %). Le stress diminue l’immunité. Et de manière nette.
Lien de l’article : https://presse.inserm.fr/quand-le-stress-affaiblit-les-defenses-immunitaires/38527/

Donc restons zen. Dans ce cas on parle d’un stress moléculaire, c’est aussi vrai pour le stress psychologique.
En pratique : n’ayons pas peur (Jean-Paul II). “La seule chose dont nous devons avoir peur, est la peur elle-même”. A notre époque ça équivaut à réduire les news télévisés (majoritairement anxiogènes..)  qui affectent directement l’immunité !
Regardons plutôt des documentaires animaliers…😊

Physique

Plan des notions abordées

  • Quid des pâtes (cf. la razzias sur les pâtes…😊) ?!
  • La nutrition optimale ?
  • Bonnes associations alimentaires
  • Prendre une complémentation ?
  • Toxines classiques : Produits Laitiers de Vache, Glutens, Blancs d’oeufs en trop grande quantité.
  • Est-ce excellent de manger des pâtes ?

Et bien vu le nombre de français qui sont intolérants c’est une question à se poser.
On sait grâce à l’étude du Dr Roger Mussi, que 53% des personnes présentent une sensibilité au gluten non-cœliaque.
Jusqu’il y a peu on pensait que seul 1 à 2 % de la population ayant la maladie cœliaque était affectée par le gluten des blés modernes. Cette étude a apportée la preuve qu’il existe une sensibilité au gluten non-cœliaque.
Et comme la grande majorité des pâtes consommées est fabriquée avec des blés modernes…

Les pâtes peuvent tout à fait être sans gluten également : riz, sarrasin ou autre (lentilles,…).

A minima : manger le même volume de légumes que de pâtes (si possible au moins 50 % crus, pour la préservation des vitamines).

  • Pour vous qui aidez les personnes fragiles.

Ce qui est recommandé. : végétal +++, cru > 50%, sur sol-vivants (micronutriments).
C’est essentiel pour avoir les micronutriments nécessaires.
Ceux-ci viennent des plantes donc du sol… c’est pour cela que la provenance des produits est essentiel.

Avoir au moins 50% des apports végétaux crus est important pour l’apport en vitamines. Personnellement je considère que le cuit nous apporte aussi des services.

En pratique : une salade composée : salade, betterave, carottes, ….et herbes aromatiques avec une vinaigrette contenant de l’huile d’olive, de cameline, de colza; au déjeuner et au dîner.

  • Les bonnes associations alimentaires

C’est la façon avec laquelle on associe les aliments. C’est bon pour la vie de la flore intestinale. Dans le cas inverse on crée de la dysbiose.

Le principe de base est simple : quand on mange des protéines, elles sont digérées dans l’estomac et cela prend du temps.  Les glucides (pâtes, riz, pain, légumes féculents : pomme de terres) et lipides sont digérés dans l’intestin grêle.
Quand on mélange glucides et protéines; les glucides ont tendance à fermenter.

  • Oui
    • légumes verts + glucides 
    • légumes verts + lipides 
    • protéines (viandes, poissons) + légumes verts.  
  • Non 
    • protéines + glucides
  • Les fruits soit avant le repas (20 min avant), soit dans l’après-midi. Pas en fin de repas (crée une fermentation des glucides).
  • Faut t’il prendre une complémentation ?

Pour les personnes fragiles, si on peut se le permettre je le recommande (surtout en ce moment).

  • Oméga – 3 
  • Vitamine D
  • Vitamine C
  • Zinc

Les oméga – 3 : sont anti-inflammatoires. Bon pour le coeur et le cerveau.
Les molécules sont au nombre de 3 :
ALA ou Acide alpha-linolénique
EPA : Acide Ecosapentanoïque.
DHA : Acide Docosahexanoïque. Contribue au fonctionnement normal du cerveau.

Dans l’alimentation, ils sont présent :

  • ALA : Dans les huiles : huiles de lin, cameline, et chanvre. Dans les oeufs de poules nourries avec une proportion de lin suffisante.  
  • EPA et DHA : poissons gras : sardines, saumon par exemple.
  • ALA est un précurseur de EPA et DHA.

En complémentation
Pour soutenir l’immunité la complémentation est recommandée.
Plusieurs marques en propose dans le commerce : Solgar (excellente qualité), Super Diet, et un bon nombre d’autres ! En général sous forme de gélule parfois transparentes contenant l’huile de poisson sauvage.
Quand les prendre ? Les fabriquants indiquent pendant les repas, toutefois c’est aussi possible à jeun le matin.

Etudes sur la vitamine D partagées par le Dr Stéphane Résimont sur sa page facebook

Vitamine D : Besoins recommandés : 5 à 10µg / jour
En pratique cela équivaut à consommer du poissons gras 1 fois par semaine,
2 à 3 œufs par semaine  et bien s’exposer au soleil (UVB) à minima 20 minutes par jour.
Complémentation recommandée
La vitamine D a de nombreux rôles :
Elle permet notamment le maintien de l’intégrité intestinale, l’absorption du calcium au niveau de la barrière intestinale, dans les os.

Vitamine C
La vitamine C joue un rôle essentiel dans l’immunité.
Selon certaines études, plus de 20% des hommes ont un taux bas de vitamine C.
Cela peut être du à une alimentation trop industrielle (même si riche en fruits et légumes). On sait que les taux de vitamine C sont très bas dans les fruits et légumes industriels comparés à l’agriculture biologique.

Avant une complémentation, on peut faire en sorte dans un premier temps d’avoir la vitamine C en quantité suffisante dans son alimentation.

Les sources

  • les agrumes si bien tolérés : citron +++, orange, pamplemousse.
  • les autres fruits (cassis, kiwi, fraises, litchi, mangue, groseille, mûres noires, melon, fruits de la passion, nectarine, framboises, myrtilles, …),
  • les légumes crus et herbes aromatiques (persil, poivrons, radis, cresson, ciboulette, choux, oseille, épinards crus, mâche, laitue, cerfeuil, ail, courgettes crues…).

En pratique : un ou deux fruits crus par jour (bios; en dehors des repas), une entrée de légumes crus, de la salade, du persil tous les jours (ou le plus régulièrement possible).

Compléments alimentaires naturels :
acérola, cynorrhodon, argousier, germes de blé, pollen

Le Zinc
Besoin pour un adulte : 10 à 12 mg
A l’heure actuelle de nombreuses personnes montrent des carences. 
Dans l’alimentation :  1 fois / sem. des huîtres ou autres fruits de mer, du foie du bœuf. Les végétariens peuvent consommer un à deux œufs / semaine et une à deux parts de fromage/semaine, des céréales complètes, des légumineuses et des graines
oléagineuses (graines de courge +++).
Complémentation recommandée surtout en cette période.