Naturopathie : quel avenir pour les professions du bien-être ? 

Comme vous savez ces derniers temps (Janvier 2023) les métiers du bien-être ont été assez critiqués, avec plusieurs articles et reportages à charge sur la naturopathie et le jeûne.  Une opportunité dîtes-vous ? Oui c’est clair. Une opportunité de réforme : la naturopathie a besoin de clarifier son positionnement au yeux de l’État et du grand public.

  • Oui nous ne sommes pas médecins et oui nous faisons un travail que les médecins ne font pas pour autant et oui nous ne faisons pas le travail que les médecins font et encore moins les chirurgiens. 

Une personne ressort  en ce moment, et est en lumière du côté des naturopathes c’est Alexandra ATTALAUZITI. Elle a pu intervenir en réponse à certains articles.

Par chance Léa Mispoulet, fondatrice de Copleni, agence qui accompagne les professionnels du bien-être (faite appel à elle, elle est super), a interviewé Alexandra dans son podcast Wellness Impact.

Pour toi qui souhaite connaître l’actualité de ce dossier de la “réforme de la naturopathie” cet entretien va t’éclairer plus qu’un peu. J’ai pris des notes de cet entretien et j’en ai fait un article pour ceux qui préfèrent la version écrite. 

Contact : retrouvez Léa Mispoulet, accompagnatrice de professionnels du bien-être et Alexandra ATTALAUZITI sur Linkedin.

Questions posées pendant cet entretien :
  • Qu’est-ce que tu penses de l’évolution du marché de la formation des métiers du bien-être Alexandra? 
  • Tu est aussi présidente du SPN en parlant de formation dans ces métiers. Quelles sont tes autres casquettes ?
  • Avec la chambre des métiers et le SPN, à quoi ressemble ton quotidien ? 
  • Comment développer efficacement son activité ? 
  • Pourquoi ça ne bouge pas assez selon toi ? 
  • Qu’est-ce que tu dirais aujourd’hui à quelqu’un qui veut lancer son école de naturopathie ? 
  • “Les professionnels du bien-être ne sont pas reconnus”, son avis sur cette idée reçue. 
  • Crois tu à la reconnaissance via un diplôme ? 
  • Qu’est-ce que tu penses de la suite ? De l’avenir des naturopathes ? Qu’est-ce que tu penses de l’avenir ? 
  • Que dire aux praticiens qui ne sont plus sur Doctolib ? Tes meilleurs conseils Alexandra 
  • Qu’est-ce que tu penses de la concurrence ? 
  • As-tu des ouvrages à conseiller ?

Léa Mispoulet, fondatrice de Copleni, interview Alexandra ATTALAUZITI présidente du SPN Syndicat des Pros de la Naturopathie, directrice générale de ADNR Formations, présidente de la Branche des métiers du Bien être au sein de la CNPL. 

Alexandra ATTALAUZITI. Professionnelle de l’accompagnement.
Elle a un parcours riche. 45 ans, maman de 5 enfants pour sa vie privée et :  

  • elle a fait sport étude au lycée, 
  • puis commence une école d’infirmière pendant 2 ans, interrompue suite à un Guillain Barré malheureusement. 
  • A la suite de cela elle se forme à l’ostéopathie fluidique et la naturopathie et suit une formation d’assistante stomatologue pour gagner sa vie ! Installée en cabinet à Paris dans les années 2000 elle a pratiqué pendant plusieurs années surtout pour les maladies auto-immunes et le sport. 
  • Depuis 15 ans elle est à la tête de son centre de formation, ADNR formation à laquelle elle se consacre désormais à plein temps pour transmettre ses connaissances. Elle forme d’abord des professionnels soignants puis maintenant des particuliers aussi. 
  • Elle est aussi présidente du SPN, le Syndicat des Pros de la Naturopathie, un des principal syndicat des naturopathes (il y a également “la FENA” et l’OMNES).
  • Elle est présidente de la Branche des métiers du Bien être au sein de la CNPL


Qu’est-ce que tu penses de l’évolution du marché de la formation des métiers du bien-être Alexandra?

Recontextualisons : il y a de plus en plus d’usagers des techniques naturelles, de plus en plus de demandes. Les gens ont envie de prendre du temps pour eux. Et donc il y  de plus en plus de professionnels de santé c’est normal pour répondre à cette demande.

La où c’est dommage : c’est qu’il y a une lenteur dans la structuration de la formation de nos métiers. Cela fait des années que je demande qu’il y ait beaucoup de reconnaissance.

En témoignent les polémiques récentes : il y a des vrais professionnels qui pratiquent à côté de personnes amateures ayant été formé avec un niveau de formation trop léger. La priorité est de faire en sorte que les gens se sentent bien.

Je (Alexandra) suis inquiète de voir cela alors qu’intimement persuadé qu’on peut organiser rapidement la formation. 

Léa : tu est aussi présidente du SPN en parlant de formation dans ces métiers. Quelles sont tes autres casquettes ? 

  • Je suis  présidente du SPN, le Syndicat des Pros de la Naturopathie, un des principal syndicat des naturopathes (il y a également “la FENA” et l’OMNES).
  • Depuis 18 mois, je suis à la tête de la Branche des métiers du Bien être au sein de la CNPL, chambre nationale des professions libérales.
  • Je suis en charge de l’organisation des métiers du bien-être
  • Il y a 14 syndicats du bien-être dans notre branche. 
  • Élu au bureau de professions libérales. 
  • Ce qui donne la chance d’écrire de nombreux messages au ministère avec un message : 

“Nous sommes compétents dans l’ensemble et pouvons apporter un réel service mais effectivement il y a aussi des personnes dans nos métiers qui ne le sont pas”.

Léa : avec la chambre des métiers et le SPN, à quoi ressemble ton quotidien ? 

Le quotidien pour agir c’est : 

  • informer régulièrement les usagers
  • Prouver qu’on a une réelle audience : 7 personnes sur 10 connaissent la naturopathie et 3 personnes sur 10 reconnaissent qu’elles peuvent avoir plus d’informations. 
  • Rédiger des courriers : mettre le pied dans la porte à l’Urssaf, la caisse de retraite, l’UNCAM. Cela pour prouver que nous pouvons travailler avec des professionnels soignants et que nous maîtrisons les limites de la profession. 
  • Ca fait 6 ans et ça bouge peu. 
  • Il faut que nous communiquions sur les réseaux sociaux et autres. 
  • Le gros avantage : nous avons beaucoup parlé de nous, c’est un avantage. Certains professionnels du bien-être sortent du lot parce qu’ils se sont bougé. 
  • A l’époque il suffisait de faire le tour des médecins et des professionnels de santé et l’agenda était rempli. 

Léa : pourquoi ça ne bouge pas assez selon toi ?

  • Je pense que nous ne sommes pas assez nombreux à dire la même chose. 
  • On doit avoir un discours clair auprès des pouvoirs publics : nous ne voulons pas faire de la santé mais accompagner en complément du corps médical. 
  • Nous sommes là pour accompagner le client. 
  • Il faut avoir le même discours.Il faut que d’une seule voix on parle !
  • On laisse faire croire qu’on ne s’entend pas bien. Alors que cela se passe bien avec les autres syndicats (Fena, Omnes, et autres). 
  • Nos ministres et députés ne connaissent pas bien nos métiers. C’est important d’expliquer.

On change de sujet tout en restant dans la thématique.

Qu’est-ce que tu dirais aujourd’hui à quelqu’un qui veut lancer son école de naturopathie ?

Attention : un égard serait de lancer une école pour lancer une école et le gain financier que cela peut représenter. C’est la mauvaise voix. Pourquoi ? Parce que les étudiants peuvent arriver avec un niveau déjà bon dans la naturopathie. 

Qui plus est un centre de formation est une ingénierie administrative. Il y a des exigences de qualité importantes à l’heure actuelle. 10 salariés en quatre ans pour amortir la demande d’ingénierie qualité. C’est beaucoup de travail pour la formation professionnelle.

Si c’est pour de la formation aux particuliers c’est plus simple mais on ne peut avoir accès au CPF ou autre prise en charge. 

Léa : J’aimerais qu’on parle d’une idée reçue, “les professionnels du bien-être ne sont pas reconnus”

  • C’est une idée reçue effectivement. Nous avons un code APE. 
  • L’Insee nous reconnaît, la cotisation à l’Urssaf est possible, à la cipav : caisse de retraite.  
  • et en même temps la formation n’est pas diplômante. 

La formation n’étant pas reconnue, n’importe qui peut s’installer en tant que naturopathe. La seule chose imposée depuis 2017 : dire que nous sommes autodidacte au client (si c’est le cas). Ce qui est déjà un pas en avant.

Nous sommes reconnus mais la formation n’est pas encore diplômante.
Les certificats sortent des écoles et non du ministère du travail. A l’heure actuelle nous n’avons pas de titre RNCP.

Et tu y crois à la reconnaissance via un diplôme ?

Oui. Il est impératif et urgent de donner un titre RNCP à plusieurs centres de formations pour rapidement faire le tri entre les centres reconnus et les autres. Je suis positive, les ostéopathes ont fait ça très vite. Mais c’est possible !  

Par exemple par la ministre Grégoire, ministre des TPE PME ; les inspecteurs de France compétences, ils y a 50 demandes de diplôme depuis des années. 


Léa : qu’est-ce que tu penses de la suite, de l’avenir des naturopathes ? Qu’est-ce que tu penses de l’avenir ?

Je salue les médias qui disent des bêtises sur la naturopathie parce qu’ils m’invitent aussi pour que je puisse dire que nous faisons du bon boulot. 

A propos de Doctolib : c’est une opportunité également pour les autres de se structurer. Les clients iront chercher les praticiens sur d’autres plateformes. 

Les pharmaciens nous font de plus en plus confiance et c’est aussi visible sur l’augmentation des ventes de produits complémentaires. 

Le job que nous avons à faire : prouver la compétence et là est la difficulté. Si on avait un titre RNCP ce serait simple. Diplôme = bon ; sans diplôme : plus compliqué de savoir. A l’heure actuelle “la confiance” se fait via les avis sur ces plateformes. 
Les usagers doivent poser des questions. 

Léa : que dire aux praticiens qui ne sont plus sur Doctolib ? Tes meilleurs conseils Alexandra.  

  • Varier : déjà être sur plusieurs plateformes. Le SPN est partenaire de plusieurs plateformes. Et en même temps cela ne suffit pas.  
  • Il faut pouvoir rencontrer des professionnels de santé autour de soi, organiser des 
  • Organiser des conférences gratuites, intervenir auprès de club du 3ème âge. 
  • = se bouger ; innover ; aller de l’avant. 
  • Il faut être qui on est. Et ce qui nous correspond. 
  • Gratuit : mieux vaut faire des conférences gratuites plutôt qu’aller sur Netflix.
    En clair donner d’abord. 
  • Il faut se bouger et parler de vos techniques, à tout le monde, partout ! 

Qu’est-ce que tu penses de la concurrence ? 

Sans avoir fait d’école, je dirais que la concurrence est bonne ! 
La compétition permet de se stimuler. Parler de ses confrères plutôt que des concurrents ! C’est bien qu’il y ait un nouveau réflexologue dans le village.
En pratique : c’est aussi positif, exemple si on est enceinte.

As-tu des ouvrages à conseiller ? 

Pour les naturos je vous encourage à passer du temps sur des publications scientifiques, sur les études cliniques.

“L’avenir est pour nous, il ne faut pas douter !”
“Vous êtes des entrepreneurs, sortez vous les doigts, ça va bien se passer !”
Tout est dit.

Le commentaire de Baptiste en deux mots 

  • Regardez bien les conseils ci- dessus, ça vaut le détour ! 
  • Oui, il faut un diplôme pour la naturopathie et les métiers du bien-être.  
  • Voir même un label. 

Jeûne : le docteur Jacques Rouillier est l’invité de RTL Midi

Le Docteur Jacques Rouillier était l’invité de RTL Midi avec Céline Landreau et Pascal Praud le 20 janvier 2023 pour répondre à leurs questions sur le jeûne.

Retrouvez l’interview de 7 min 25 sur : https://www.rtl.fr/programmes/les-invites-de-rtl/7900227310-jeune-le-docteur-jacques-rouillier-est-l-invite-de-rtl-midi

Qui est Jacques Rouillier (dr.) ? Le docteur Rouillier est un membre fondateur de l’académie médicale du Jeûne (AMJ), un collectif de médecins et professionnels de la santé. Elle est partenaire de la Fédération francophone de jeûne et randonnée (FFJR).

Intéressant d’entendre cette voie que peu connaissent encore, c’est à dire celle de médecins et autres professionnels de santé formés au jeûne et son utilisation thérapeutique.

L’AMJ à des objectifs repris dans sa charte :

  • Informer les médecins sur le jeûne, sa physiologie, ses bénéfices, ses contre-indications
  • Fédérer les médecins intéressés par la pratique du jeûne, la prescription et l’utilisation du jeûne auprès de leurs patients
  • Favoriser les échanges sur les expériences et les connaissances médicales du jeûne
  • Former les médecins à l’accompagnement médical des patients jeûneurs
  • Constituer un réseau de médecins référents pour la surveillance et l’accompagnement médical du jeûne auprès des Centres de la FFJR
  • Faire reconnaître et promouvoir l’utilisation du jeûne comme moyen thérapeutique
  • Représenter les médecins spécialistes du jeûne auprès des institutions
  • Établir et diffuser une veille documentaire sur les études scientifiques ou cliniques concernant le jeûne et la nutrition.


Et des valeurs communes reprises dans la charte également :

  • Promotion d’un moyen thérapeutique simple, efficace et peu coûteux
  • Rigueur dans la diffusion d’informations validées
  • Echanges d’expériences et de connaissances médicales
  • Collaboration avec les compétences du réseau de la FFJR
  • Indépendance vis-à-vis de l’industrie de la santé (Laboratoires, Cosmétologie, Nutrition, etc).

FROID ET CHAPKA

Froid et Chapka.

Se couvrir la tête en hiver et particulièrement quand il fait très froid !
Il a fait très froid récemment et j’ai pu observé les têtes. Une bonne moitié non couverte.

Certains connaissent ce simple moyen d’avoir plus chaud et de mieux supporter le froid polaire. En leur demandant pourquoi, ils vous répondront : « parce qu’on pert de la chaleur par la tête ».

Cette réponse à elle seule peut suffire, et vous d’en profiter pour dispenser ce précieux conseils à vos amis et entourage. A savoir : à lui seul le crâne évacue 30% de la chaleur corporelle. Hors si la tête se refroidit c’est l’ensemble du corps qui se refroidit. (source). Et bien figurez-vous qu’il s’agit aussi d’aider le cerveau à thermoréguler l’ensemble du corps. En clair c’est à la fois pour éviter la perte de chaleur et pour permettre au cerveau d’avoir le bon thermostat.

Et pour ça, on les appellera :

  • Bonnet
  • Chapka
  • Toque
  • Châpeau
  • Couvre-chef

Autres conseils pour bien gérer l’exposition au froid

  • boire des boissons chaudes. L’eau chaude par exemple est une boisson ayant seulement des avantages.
  • Se couvrir bien sûr : les extrémités en priorité. 30 autres % sont perdus par le couple pieds mains.
  • L’alcool : n’a pas d’utilité réelle pour lutter contre le froid.
  • Bouger : le mouvement, conseil évident, permet de faire circuler le sang et la lymphe dans tout l’organisme. et d’activer la production d’énergie cellulaire dans les mitochondries.
  • Et se couvrir la tête : très important.

Sources

  • https://www.runner-life.com/2014/12/il-fait-froid-couvrer-votre-tete.html#:~:text=En%20revanche%20il%20y%20a,du%20corps%20qui%20se%20refroidit.
  • https://www.francetvinfo.fr/meteo/climat/eviter-la-deperdition-de-chaleur-se-couvrir-la-tete-ne-pas-boire-d-alcool-les-conseils-pour-ne-pas-souffrir-du-grand-froid_2596024.html

UN VACCIN POUR LE COVID ?

Baptiste Barennes
Naturopathie & Séjours de jeûne
jeunenaturesante.com
06.08.67.57.99
mail : baptiste@jeunenaturesante.com

Chers amis,

  J’espère que vous allez bien depuis la semaine dernière. 

La semaine dernière la lettre finissait avec ceci : 
« Certains croient que la vaccination est LA seule façon pour se protéger du COVID en ce moment et pour la suite, d’autres y sont farouchement opposé, y voyant un moyen de nous injecter une micropuce »

La situation & la problématique

On est à la fin de l’épidémie COVID et maintenant beaucoup se demandent ce qu’il va se passer en terme de santé publique ?!.Pour l’instant il y a les gestes barrières et les masques dans les transports.
L’épidémie est maintenant quasiment finie en terme de nombre de cas. 
Dans les coins on parle de vaccin…

Pendant le confinement un débat est apparu, sous-tendu par de nombreuses informations qui l’alimentent. 
Un vaccin contre le COVID est en préparation. Il faut savoir que 115 entreprises ou groupes travaillent sur le sujet dont plusieurs sont déjà en phase 1 (la première phase de test du vaccin sur les humains). 
La Fondation Gates qui fait tant parler d’elle a un rôle en agissant au niveau du financement. La fondation subventionne massivement l’OMS et GAVI : l’Alliance Globale pour la Vaccination. C’est ensuite par ce biais que les fonds sont redistribués.

Et oui les gens souhaitent s’immuniser.
Ce que croient les gens à ce niveau : un vaccin pourrait nous sauver !
Ah bon ? Et bien voyons comment c’est possible (ou pas…) et essayons de savoir si il faut se faire vacciner contre le COVID ?!. 

A quoi sert la vaccination ? 
La vaccination a un seul rôle : celui de stimuler le système immunitaire une première fois en amont d’une infection. La réponse du système immunitaire est la création d’anti-corps spécifiques de la maladie dont on souhaite être ‘immunisé’. Le corps garde une mémoire (les lymphocytes B mémoire) spécifique de l’antigène. Quand on est de nouveau en contact avec le pathogène : la production d’anti-corps est plus rapide et donc théoriquement la réponse immunitaire est meilleure.
C’est bien théorique dans un certain nombre de cas voyons pourquoi !. 

Dans le système immunitaire il y a deux réponses possibles : l’immunité innée et l’immunité adaptative.  

L’Immunité innée

Qu’est-ce que l’immunité innée ?

  • On la reçoit à la naissance
  • C’est une réponse immédiate.

Ce sont :

  • les barrières naturelles : les muqueuses, la microflore, la peau
  • le système du complément (un système de molécules dans le sang),
  • des cellules phagocytaires (qui ingèrent l’intru. Les macrophages par exemple)  
  • et des cellules tueuses naturelles.  
  • Elle n’a pas de mémoire immunologique.
  • Normalement ce système est à lui seul efficace.
  • Lors d’une infection : dans les premières heures c’est d’abord cette immunité qui est activée.

L’immunité acquise (ou adaptative)

  • Cette immunité est spécifique de l’antigène.
  • Elle fait intervenir les lymphocytes T et B qui sont d’autres cellules immunitaires. Le mécanisme de base est celui-ci : l’antigène est présenté aux lymphocytes T qui activent les lymphocytes B, qui produisent des anti-corps. Ces anti-corps sont l’immunité humorale. 
    Certaines cellules sont aussi capables d’éliminer le pathogène, c’est l’immunité cellulaire. 
  • Le vaccin agit sur cette immunité et non sur l’immunité innée.

Pourquoi la vaccination n’est pas la seule solution bien au contraire ? Déjà l’idée de base dans le vaccin est celle de stimuler l’immunité adaptative seulement.  Or est-ce vraiment une approche satisfaisante à notre époque ?. C’est aussi une question qu’on peut se poser..

Il y a un mode de vie qui permet de stimuler l’immunité innée. 

  • Avoir une alimentation qui respecte la (les) muqueuse(s) et les micro-flores.

Pour cela éviter les produits inflammatoires. Ce sont des produits alimentaires qui créent une réaction inflammatoire dans la muqueuse intestinale voire génère un intestin perméable.  
Dans le domaine de la microflore…on ne connaissait jusqu’à présent que peu de choses. En fait il apparaît que cette microflore joue un rôle protecteur très intense.

  • Une alimentation riche en micro-nutriments : le zinc, vitamine C, vitamine D, oméga-3.
  • Vivre en bonne santé mentale, émotionnelle, relationnelle. 

La questions des effets secondaires 
Un aspect de la vaccination est celui des effets secondaires.
Saviez-vous qu’on vous injecte des antigènes et des adjuvants ? 
Les adjuvants sont des molécules comme l’aluminium. Cet aluminium permet de créer une surréaction du système immunitaire qui amplifie la réponse au pathogène. Il y a une autre raison à cela : garantir la stabilité du vaccin à moindre coût.

Mais le corps a t’il été crée pour qu’on injecte de l’aluminium dans le sang?

Chez certaines personnes ces adjuvants peuvent créer des sur-réactions graves du système immunitaire. 
Il a des adjuvants dans les vaccins du COVID en développement. C’est une information disponible ici.

Les effets secondaires
C’est un peu le mythe de la vaccination : l’idée qu’on ne risque rien en se faisant vacciner…
La vérité semble être tout autre. En fait il y a là un flou…
Il y a peu de remontées sur le sujet, et avant une vaccination les personnes ont peu d’informations sur les risques (qui est vraiment ‘éclairé et consentant’ ?). 

Aux Etats-Unis. 
Aux Etats-Unis il y a un tribunal des vaccins. En 2019, 4,2 Milliards de dollars ont été versés en indemnités aux ‘victimes’ des vaccins.  

Est-ce que les vaccins modernes sont si utiles que ça ?
Le Pr Raoult (DR) a donné son avis sur le sujet, en étant interviewé la semaine dernière par Guillaume Durand (GD) sur Radio Classique. C’est ici. 

GD : Sur la société Moderna, qui aurait commencé à tester un vaccin qui produirait des anti-corps. Est-ce que vous pensez que c’est une piste sérieuse ?
DR : Je pense que l’ignorance domine beaucoup le monde. Il faut avoir un peu plus de savoir.
GD : Que les labos travaillent sur les vaccins c’est quand même normal non ?DR : je vous conseille d’aller sur le site de l’OMS et de regarder les vaccins qui sont ‘available’. Et si vous voyez des vaccins qui ont répondu à des maladies émergentes depuis 30 ans et bien vous me rappellerez…

Les sources 

La semaine prochaine  
On parle naturopathie et jeûne, et oui c’est mon activité quand même !. Je vous souhaite un bonne semaine SMS (soleil, massage, sommeil).  

A plus tard, 
Baptiste 

La CHLOROQUINE et le ZINC + Le JEÛNE INTERMITTENT comme prévention au COVID

Baptiste Barennes
Naturopathie & Séjours de jeûne
jeunenaturesante.com
06.08.67.57.99
mail : baptiste@jeunenaturesante.com

 Chers amis, 

  J’espère que vous allez bien depuis la semaine dernière. Le déconfinement a commencé il y a deux semaines mais il y a un mais… c’est un déconfinement partiel. On a notamment le plaisir du masque dans les transports, de la distanciation et puis les gens se posent des questions 
Comment vraiment se protéger du COVID ? Comment va évoluer notre société ? 

Les informations qu’on reçoit sont souvent contradictoires. 

Ca a été le cas pour la chloroquine, le confinement, c’est maintenant le cas pour les masques, et puis la suite des évenements. 

Les gens peuvent être complètement perdus, on le voit bien. Par exemple beaucoup portent le masque même dans la rue, alors qu’on ne leur avait pas demandé ! ​  

L’idée c’est toujours la même.
Vous savez de quoi je parle ? On peut entretenir notre système immunitaire. En faisant des choses simples au quotidien on influe positivement dessus.

​Ce discours j’aimerais qu’on nous le tienne plus.
Vous pouvez me dire ce que vous en pensez en réponse (mail ci-dessus).

La semaine dernière on parlait du rôle du Zinc dans la perte du goût. 
Pour revoir la lettre c’est ici.
Aujourd’hui on signe en montrant qu’un des rôles de la chloroquine est d’apporter le Zinc dans les cellules. Le Zinc peut alors jouer son rôle antivirial. Le statut en Zinc est de nouveau essentiel. 
Et comment faire pour diminuer l’inflammation facilement ?
On peut pratiquer le jeûne intermittent

Le ZINC et la CHLOROQUINE 

Est-ce que l’association du zinc et de la chloroquine peut-être un traitement pour le coronavirus ?
Le zinc inhibe la replication virale. Ceci a été montré dans une étude : L’augmentation de la concentration de Zinc intracellulaire inhibe l’ARN polymerase (une protéine impliquée dans la réplication virale) et d’autres protéines. Cela montre que le statut en zinc est essentiel.   En parallèle figurez-vous qu’on sait déjà depuis 2014… que la chloroquine est un ionophore du zinc (un ionophore = une molécule qui permet à un ion de rentrer dans les cellules). La chloroquine fait augmenter le Zinc dans les cellules et donc..diminuer la charge virale. 

Certains ont d’ores et déjà mis en place l’utilisation du Zinc par voie orale comme traitement du COVID-19. 

Vous pouvez en parler aux personnes âgées, à risque (diabète, hypertension, bronchite chronique, obésité) ou même souhaitant se renforcer. Pour être bien Zingué : prendre une complémentation ou alors avoir une alimentation assez riche en Zinc. Pour revoir la lettre de la semaine dernière c’est ici

LE JEÛNE INTERMITTENT comme moyen de prévention du COVID. 

L’espoir fait vivre…et vient de l’Orient : du Bangladesh (ils ont aussi des scientifiques, clin d’œil aux consommateurs H&M) et de Corée (du Sud).

Si simplement d’avoir un temps de jeûne de 16h par jour était un moyen de prévention ?
Ca vous paraît simpliste ?  Et bien c’est ce qu’affirme en toute humilité les scientifiques dans cet article.

Voici pourquoi : 

  • Le jeûne intermittent est une situation dans laquelle l’autophagie est activée
  • L’autophagie : derrière ce nom étrange…un processus de recyclage des déchets cellulaires qui accélère la dégradation intracellulaire des virus.
  • Le jeûne en parallèle de ce processus réduit l’inflammation de façon chronique.Ce qui est très utile notamment en cas d’obésité, d’asthme, d’arthrite rhumatoïde (certains facteurs de risque du Covid..)
  • Pour faire simple : jeûner 16h par jour (ce qui laisse 8h pour 2 bons repas), permet au corps d’augmenter son immunité contre le COVID et de diminuer son inflammation de façon chronique.

Trump
Vous avez dû apprendre il y a quelque jour que Trump prenait de la chloroquine de façon préventive….Et bien figurez-vous qu’il pratique aussi le jeûne intermittent de façon naturelle depuis des années. Voilà pour l’anecdote. 

Les sources

Vous avez le droit (inaliénable) aux sources de ce que vous avez lu au  dessus. 

Le zinc intracellulaire et la replication virale 

Sur la Chloroquine et son effet ionophore du Zinc

  Sur le jeûne intermittent comme facteur de prévention 

Va t’il falloir se faire vacciner ?

Certains croient que c’est LA seule façon pour se protéger du COVID en ce moment et pour la suite, d’autres y sont farouchement opposé, y voyant un moyen de nous injecter une micropuce. On en parle (entre autre) dans quelques jours, notamment suite à une intervention du Pr Raoult sur le sujet.  

A la semaine prochaine,
Baptiste

RÉPONSE à une vidéo qui a fait FLIPPER mes parents : « Coronavirus, dangers immédiats et futur ! « 

00 : 00 – Présentation
00 : 10 – La vidéo « alarmiste » qui a fait flipper mes parents : https://www.youtube.com/watch?v=7t82P….

01 : 40 – Le contenu de la vidéo en question (en toute bienveillance).
02 : 00 – 99% des morts du Coronavirus en Italie avaient une ou plusieurs maladies (48,5% en avaient 3 ou plus) : Hypertension, diabète, cardiopathie ischémique, maladie cardiaque).
Voir l’article : http://jeunenaturesante.com/coronavir…
05 : 30 : Ce qui a fait peur à mes parents !

06 : 02 : Voici ma réponse !
06 : 30 : Tatiana Scorza, Immunologiste, sur Radio Canada : http://jeunenaturesante.com/une-immun…
07 : 20 : A propos de la crise de cytokines. On ne peut généraliser au reste de la population.
09 : 10 : Parlons de l’immunité.
09 : 50 : L’esprit : la peur diminue l’immunité… donc ayons confiance !.
10 : 20 : On entretient notre terrain grâce à l’alimentation : riche en micronutriments. Le zinc est essentiel, comme la vitamine D.

11 : 30 : VISIO de NATUROPATHIE à propos de l’immunité.
Séance d’une heure ou 3 x 20 min pour un suivi sur 3 semaines.
Vous pouvez envoyer un mail à baptiste@jeunenaturesante.com.
Mon numéro de téléphone sur : http://jeunenaturesante.com/

Les intolérances alimentaires ?!

Naturopathie

Vous trouverez sur cette page des informations à propos des intolérances alimentaires.

  • Quels peuvent être les signes ou « symptômes » visibles d’une intolérance en pratique ?
  • Si vous souhaitez en avoir le cœur net, vous pouvez faire un test d’intolérances alimentaires.
  • Les tests IMUPRO
  • Comment ça se passe ?
  • Sources : les sources de tout cela

Saviez – vous que les aliments que vous consommez peuvent créer des anti-corps (IgG), c’est à dire être une source d’inflammation qu’on essaie d’éviter en santé naturelle ? Pour voir les études déjà réalisées : cliquez ici

Non, vous ne le saviez pas ?
Et bien c’est normal, ce n’est pas votre faute puisque c’est quelquechose dont on parle très peu . On pense toujours aux virus (si vous voyez ce que je veux dire en ce moment, Covid..), aux bactéries, aux champignons. Et pourtant la première source d’inflammation (dont les anti-corps font partis) dans un organisme ce sont les produits alimentaires qu’on ingère tous les jours.

Pour les aliments qui déclenche cela ça dépend des gens : pour les uns ça peut être les produits laitiers (pas pour tout le monde), les glutens de blé (53% de la population a une intolérance non-cœliaque aux glutens de blé), le blanc d’œuf (plus de 50 % de la population a un intolérance aux protéines du blanc d’œuf, et d’autres aliments (dont parfois la seule manière de le savoir est de faire un test d’intolérance alimentaire).

Quels peuvent être les signes ou « symptômes » visibles d’une intolérance en pratique ?

Là où c’est intéressant c’est qu’on peut en ressentir des effets avec des affections du quotidien dont on ne comprend pas nécessairement la cause.

Ça peut être :

  • nausées, ballonnements
  • Syndrome du côlon irritable, diarrhée, constipation
  • SGNC (Sensibilité au gluten non Cœliaque)
  • Maux de tête, douleurs chroniques, migraines
  • Problèmes de poids, obésité
  • Malaises gastro-intestinaux
  • Eczéma, problèmes de peau, problèmes de peau de type dermatite atopique
  • Psoriasis
  • Maladie de Crohn.

Vous souhaitez savoir pour vous, vos enfants ou votre entourage ?
Les grandes intolérances sont partagées par une grande partie de la population.
Ce sont :

  • les produits laitiers de vache, avec les protéines du lait et le lactose
  • les gluten de blé
  • le blanc d’oeuf

Si vous souhaitez en avoir le cœur net, vous pouvez faire un test d’intolérances alimentaires.

Les tests IMUPRO

Le laboratoire R-Biopharm (Allemand) fournit un test d’excellent qualité appelé IMUPRO.

Il y a plusieurs formules de tests en fonction du nombre d’aliments testés. 

Comment ça se passe ?

Il s’agit d’un prélèvement sanguin de quelques millilitres (c’est très peu comparativement à une prise de sang standard).

D’abord

  • avant cela il vous fait choisir un test IMUPRO parmi ceux mentionnés ci-dessus.
  • Le Kit de prélèvement vous est envoyé par voie postale et vous pouvez vous faire prélever.

Le prélèvement & l’envoi

  • Ce prélèvement peut être réalisé à votre domicile grâce à un ou une infirmière libérale.
  • ou dans certains laboratoires habilités (qui possèdent le test) .
  • Une fois le prélèvement effectué, vous renvoyez le kit par voie postale également à l’adresse indiquée. Pour cela rendez-vous simplement dans le bureau de poste le plus proche et votre postez votre colis comme il se doit.
  • Le prélèvement est ensuite analysé selon : la méthode Elisa. Les anticorps spécifiques d’aliments sont dosés.

Les résultats

  • 15 jours – 3 semaines après : vous recevez les résultats par voie postale. Joint à cela un guide d’explication des intolérances.

Comment se présente les résultats ?

(en construction).

Où sont les laboratoires habilités ? 

  • Tout les laboratoires peuvent en principe effectuer le prélèvement. Vérifier à l’avance avec eux si vous souhaitez faire le prélèvement via un laboratoire. près de chez vous.

Se faire prélever à domicile

  • Pour cela un infirmier ou une infirmière libérale peut vous faire le prélèvement.
  • C’est possible grâce à un kit de prélèvement.
  • Pour la fiche à remplir pour obtenir le Kit de prélèvement, les différents tests et les aliments couverts : cliquez ici !


Consultation de naturopathie

Pour pour plus d’informations : vous pouvez prendre rendez-vous pour une consultation de naturopathie (en direct ou en visio). Je me ferais un plaisir de répondre à vos questions et vous éclairer sur le sujet.

SOURCES

Sur les liens entre l’alimentation et l’inflammation

  • L’alimentation ou la troisième médecine, Dr Jean Seignalet.

Sur les intolérances alimentaires

  • Je mange ce qui me réussit, Dr Roger Mussi.

La suite (en construction).

Lettre d’information (Newsletter)

Un séjour sur les Bords de la Dordogne avec Adeline 

Chers amis,

Merci de suivre Jeûne Nature Santé. 

Cette lettre pour vous dire qu’il y a un séjour Evasion &Santé par le jeûne en Avril pendant les vacances scolaires. Je m’associe avec Adeline pour vous proposer ce séjour. 
Adeline possède un magnifique château à Castillon-La-Bataille au milieu des vignes, sur les bords de la Dordogne avec un parc floral enchanteur.

Dates : Samedi 18 avril au vendredi 24 Avril 2020.
 

Au programme le jeûne bien-sûr, et en même temps est-ce la seule finalité ?

La randonnée, les conférences santé, l’expérience de groupe, les temps de repos pour la méditation. Vous trouverez aussi tout cela pendant le séjour.
 

Pour s’inscrire et plus d’informations c’est sur le site : 

En vous souhaitant une bonne semaine,
Je vous dis à la semaine prochaine,  

Baptiste