Se couvrir la tête en hiver et particulièrement quand il fait très froid ! Il a fait très froid récemment et j’ai pu observé les têtes. Une bonne moitié non couverte.
Certains connaissent ce simple moyen d’avoir plus chaud et de mieux supporter le froid polaire. En leur demandant pourquoi, ils vous répondront : « parce qu’on pert de la chaleur par la tête ».
Cette réponse à elle seule peut suffire, et vous d’en profiter pour dispenser ce précieux conseils à vos amis et entourage. A savoir : à lui seul le crâne évacue 30% de la chaleur corporelle. Hors si la tête se refroidit c’est l’ensemble du corps qui se refroidit. (source). Et bien figurez-vous qu’il s’agit aussi d’aider le cerveau à thermoréguler l’ensemble du corps. En clair c’est à la fois pour éviter la perte de chaleur et pour permettre au cerveau d’avoir le bon thermostat.
Et pour ça, on les appellera :
Bonnet
Chapka
Toque
Châpeau
Couvre-chef
Autres conseils pour bien gérer l’exposition au froid
boire des boissons chaudes. L’eau chaude par exemple est une boisson ayant seulement des avantages.
Se couvrir bien sûr : les extrémités en priorité. 30 autres % sont perdus par le couple pieds mains.
L’alcool : n’a pas d’utilité réelle pour lutter contre le froid.
Bouger : le mouvement, conseil évident, permet de faire circuler le sang et la lymphe dans tout l’organisme. et d’activer la production d’énergie cellulaire dans les mitochondries.
Beaucoup de gens se posent des questions sur la nutrition. En fait c’est un vaste domaine. Le but est de montrer ici les différentes « écoles » qui existent.
Une chose importante à comprendre en amont : certains souhaiteraient un régime unique pour tout le monde. Or la nature est diversité. Par expérience nous savons que l’envie du régime unique est vaine.
Sans tomber dans le « il y a autant de régimes que d’êtres humains, qui serait l’autre extrême ; il existe des possibilités de personnaliser son alimentation : par exemple via la connaissance de ses intolérances alimentaires, et via son groupe sanguin. Voilà deux pistes qui donne déjà une bonne base.
Le reste étant une connaissance de l’alimentation simple basée sur la science qui nous permet de consommer des aliments sains pour notre santé, faisant bien vivre nos cellules (y compris la microflore).
La diététique « classique » : focalisée sur les quantités des différentes catégories biochimiques de macronutriments que sont les glucides, les protéines et les lipides. En pratique on s’intéresse à l’assiette en regardant le nombre de calories que l’on a pour chaque catégories.
la micronutrition : on regarde les quantités de micro-nutriments.
les intolérances alimentaires ou immuno- nutrition : grâce à des tests d’intolérances alimentaires si besoin, on essaie de mettre dans l’assiette des produits auxquels la personne est tolérante. Les intolérances sont le fait de ne pas digérer un produit (intolérance au lactose par exemple) ou qu’il crée de l’inflammation dans l’intestin (on peut alors mesurer les anticorps contre ces produits en excès dans le sang).
La macrobiotique : inspiré de traditions culinaires asiatiques et popularisée par George Oshawa, dans son livre Le Zen macrobiotique ou l’art du rajeunissement et de la longévité.
Le régime Seignalet : issu des recherches du Dr Jean Seignalet, immunologiste. lui – même inspiré du régime Kousmine.
Le régime crétois ou méditerranéen.
Le régime « Groupes Sanguins » : ce régime, personnalisé, est basé sur notre groupe sanguin. Il est mis en avant par un docteur en naturopathie américain : Peter d’Adamo. De quoi s’agit t’il ? Du fait que notre groupe sanguin régit plus ou moins favorablement à certains aliments. Pour faire dans les grandes lignes : pour le groupe 0, la viande rouge est recommandée (1 à 3 fois / semaine), le groupe A est plutôt à tendance végétarienne, le groupe B : seul groupe pouvant consommer des laitages et y trouver un bienfait. Plus d’informations dans le livre de d’Adamo.
Le régime cétogène : un régime riche en légumes, graisses et protéines, consistant à manger le minimum de glucides pour être en état de cétose.
Le régime Paléo . Et il y en a bien d’autres.
Nous ne parlons pas ici de régimes n’ayant pas de validité du point de vue de la santé sur le long terme, comme le régime Dukan ou autres.
Baptiste Barennes Naturopathie & Séjours de jeûne jeunenaturesante.com 06.08.67.57.99 mail : baptiste@jeunenaturesante.com
Chers amis,
J’espère que vous allez bien depuis la semaine dernière.
La semaine dernière la lettre finissait avec ceci : « Certains croient que la vaccination est LA seule façon pour se protéger du COVID en ce moment et pour la suite, d’autres y sont farouchement opposé, y voyant un moyen de nous injecter une micropuce »
La situation & la problématique
On est à la fin de l’épidémie COVID et maintenant beaucoup se demandent ce qu’il va se passer en terme de santé publique ?!.Pour l’instant il y a les gestes barrières et les masques dans les transports. L’épidémie est maintenant quasiment finie en terme de nombre de cas. Dans les coins on parle de vaccin…
Pendant le confinement un débat est apparu, sous-tendu par de nombreuses informations qui l’alimentent. Un vaccin contre le COVID est en préparation. Il faut savoir que 115 entreprises ou groupes travaillent sur le sujet dont plusieurs sont déjà en phase 1 (la première phase de test du vaccin sur les humains). La Fondation Gates qui fait tant parler d’elle a un rôle en agissant au niveau du financement. La fondation subventionne massivement l’OMS et GAVI : l’Alliance Globale pour la Vaccination. C’est ensuite par ce biais que les fonds sont redistribués.
Et oui les gens souhaitent s’immuniser. Ce que croient les gens à ce niveau : un vaccin pourrait nous sauver ! Ah bon ? Et bien voyons comment c’est possible (ou pas…) et essayons de savoir si il faut se faire vacciner contre le COVID ?!.
A quoi sert la vaccination ? La vaccination a un seul rôle : celui de stimuler le système immunitaire une première fois en amont d’une infection. La réponse du système immunitaire est la création d’anti-corps spécifiques de la maladie dont on souhaite être ‘immunisé’. Le corps garde une mémoire (les lymphocytes B mémoire) spécifique de l’antigène. Quand on est de nouveau en contact avec le pathogène : la production d’anti-corps est plus rapide et donc théoriquement la réponse immunitaire est meilleure. C’est bien théorique dans un certain nombre de cas voyons pourquoi !.
Dans le système immunitaire il y a deux réponses possibles : l’immunité innée et l’immunité adaptative.
L’Immunité innée
Qu’est-ce que l’immunité innée ?
On la reçoit à la naissance
C’est une réponse immédiate.
Ce sont :
les barrières naturelles : les muqueuses, la microflore, la peau
le système du complément (un système de molécules dans le sang),
des cellules phagocytaires (qui ingèrent l’intru. Les macrophages par exemple)
et des cellules tueuses naturelles.
Elle n’a pas de mémoire immunologique.
Normalement ce système est à lui seul efficace.
Lors d’une infection : dans les premières heures c’est d’abord cette immunité qui est activée.
L’immunité acquise (ou adaptative)
Cette immunité est spécifique de l’antigène.
Elle fait intervenir les lymphocytes T et B qui sont d’autres cellules immunitaires. Le mécanisme de base est celui-ci : l’antigène est présenté aux lymphocytes T qui activent les lymphocytes B, qui produisent des anti-corps. Ces anti-corps sont l’immunité humorale. Certaines cellules sont aussi capables d’éliminer le pathogène, c’est l’immunité cellulaire.
Le vaccin agit sur cette immunité et non sur l’immunité innée.
Pourquoi la vaccination n’est pas la seule solution bien au contraire ? Déjà l’idée de base dans le vaccin est celle de stimuler l’immunité adaptative seulement. Or est-ce vraiment une approche satisfaisante à notre époque ?. C’est aussi une question qu’on peut se poser..
Il y a un mode de vie qui permet de stimuler l’immunité innée.
Avoir une alimentation qui respecte la (les) muqueuse(s) et les micro-flores.
Pour cela éviter les produits inflammatoires. Ce sont des produits alimentaires qui créent une réaction inflammatoire dans la muqueuse intestinale voire génère un intestin perméable. Dans le domaine de la microflore…on ne connaissait jusqu’à présent que peu de choses. En fait il apparaît que cette microflore joue un rôle protecteur très intense.
Une alimentation riche en micro-nutriments : le zinc, vitamine C, vitamine D, oméga-3.
Vivre en bonne santé mentale, émotionnelle, relationnelle.
Le zinc
Vitamine C
Foie de Boeuf, Langouste,Huître
Les oméga-3 sont présents dans l’huile de poissons.
La questions des effets secondaires Un aspect de la vaccination est celui des effets secondaires. Saviez-vous qu’on vous injecte des antigènes et des adjuvants ? Les adjuvants sont des molécules comme l’aluminium. Cet aluminium permet de créer une surréaction du système immunitaire qui amplifie la réponse au pathogène. Il y a une autre raison à cela : garantir la stabilité du vaccin à moindre coût.
Mais le corps a t’il été crée pour qu’on injecte de l’aluminium dans le sang?
Chez certaines personnes ces adjuvants peuvent créer des sur-réactions graves du système immunitaire. Il a des adjuvants dans les vaccins du COVID en développement. C’est une information disponible ici.
Les effets secondaires C’est un peu le mythe de la vaccination : l’idée qu’on ne risque rien en se faisant vacciner… La vérité semble être tout autre. En fait il y a là un flou… Il y a peu de remontées sur le sujet, et avant une vaccination les personnes ont peu d’informations sur les risques (qui est vraiment ‘éclairé et consentant’ ?).
Aux Etats-Unis. Aux Etats-Unis il y a un tribunal des vaccins. En 2019, 4,2 Milliards de dollars ont été versés en indemnités aux ‘victimes’ des vaccins.
Pr Didier Raoult et Guillaume Durand
Est-ce que les vaccins modernes sont si utiles que ça ? Le Pr Raoult (DR) a donné son avis sur le sujet, en étant interviewé la semaine dernière par Guillaume Durand (GD) sur Radio Classique. C’est ici.
GD : Sur la société Moderna, qui aurait commencé à tester un vaccin qui produirait des anti-corps. Est-ce que vous pensez que c’est une piste sérieuse ? DR : Je pense que l’ignorance domine beaucoup le monde. Il faut avoir un peu plus de savoir. GD : Que les labos travaillent sur les vaccins c’est quand même normal non ?DR : je vous conseille d’aller sur le site de l’OMS et de regarder les vaccins qui sont ‘available’. Et si vous voyez des vaccins qui ont répondu à des maladies émergentes depuis 30 ans et bien vous me rappellerez…
La semaine prochaine On parle naturopathie et jeûne, et oui c’est mon activité quand même !. Je vous souhaite un bonne semaine SMS (soleil, massage, sommeil).
On le sait, beaucoup d’entre nous ont perdu le goût pendant le COVID-19. Un jour on se lève puis arrive le déjeuner. On trempe la fourchette dans une gouteuse purée et la stupeur est totale…la purée n’a aucun goût ! C’était pourtant aromatisé…(une histoire renversante).
La perte du goût est un des symptômes du Covid.
A quoi est-ce dû ? En dehors du Covid la perte de goût est généralement médicamenteuse. Une longue liste de médicaments provoque çela, c’est bien connu dans le monde médical.
Le zinc est un cofacteur de la gustine, une protéine du goût située dans les papilles gustatives. La carence en Zinc peut provoquer la perte de goût.
Dans le cas du COVID. Le zinc est utilisé pendant la réaction immunitaire. C’est un immunostimulant de l’immunité acquise et innée, il participe notamment à la maturation des lymphocytes. C’est pourquoi pendant que le corps jugule le virus, la quantité de zinc disponible s’épuise. Le corps n’a pas de stockage de zinc. Et on se retrouve en carence.
Le zinc
Où trouve t’on le Zinc dans l’alimentation ?
La réponse est donnée sur le site Lanutrition.fr, dans l’outil de recherche “Les aliments à la loupe”.
Résultats de la recherche, ‘le plus de Zinc’ :
Huîtres
Foie de Boeuf (normalement c’est « foie de veau » mais entre nous ça a fini par me dégoûter l’idée de manger un veau, je ne sais pas vous ?. Dans tous les cas à consommer BIO, le Foie étant un organe d’épuration. La qualité de vie de l’animal est primordiale qui plus est dans le cas du Foie).
Graines de Pavot
Shiitaké séché
Graine de courge rôtie
Langouste
Cacao en poudre
Le persil
HuîtresFoie de Boeuf, Langouste,HuîtreGraines de Courges
En complément alimentaire
Le zinc existe en complément alimentaire en magasin bio et parapharmacie. Les besoins journaliers recommandés sont de 9 à 12 mg par jour. Vous pouvez aller au delà (jusqu’à 30 mg) pendant une cure de 3 semaines. Les compléments proposent un dosage plus élévé (30 mg) mais une partie n’est pas absorbé par l’intestin.
Si vous avez la perte de goût en ce moment. Je vous conseille de prendre directement une complémentation ainsi que des aliments bénéfiques riches en zinc (voir ci-dessus).
Si vous avez eu la perte de goût pendant le COVID. Je vous conseille également de prendre une complémentation dès maintenant. Vous trouverez le zinc en complément en magasin Bio et parapharmacie. Une cure de 3 semaines est bien.
Zinc, vit all + Complexe : Ca, mg, Zn, D3 Deux bons produits pour une cure de Zinc. Ps : aucun lien d’intérêt avec ce laboratoire, c’est un produit que j’utilise personnellement. D’autres laboratoires présentent également de bons produits.
Le zinc est essentiel pour votre immunité dans tous les cas. Par exemple sachez que le statut en zinc détermine l’efficacité de la chloroquine. Cette molécule agit beaucoup moins chez une personne carencée en zinc. La chloroquine à notamment la fonction d’apporter le zinc dans les cellules. Le zinc est antiviral c’est là son effet essentiel à l’heure actuelle (COVID).
Cependant… Pour la suite de la vie le quotidien « doit » normalement combler vos besoins en zinc grâce à une alimentation équilibrée et diversifiée. Mais si vous souhaitez apporter un nutriment essentiel au système immunitaire en période de fragilité c’est le zinc ! D’ailleurs on dit souvent « se faire dezinguez.. » quand c’est pas bon signe, donc on peut aussi se zinguer. Je vous laisse sur cette méditation philosophique…
Les sources Vous avez bien sûr le droit aux sources de ce que vous avez lu au dessus.
Le coronavirus : “On est en guerre” et oui mais quelle sont nos armes alors pour gagner, et avec quelles troupes ?
Qu’est-ce qu’on craint finalement ? Et bien que les personnes fragiles soient touchées, c’est le maître mot. Avec ce qui peux s’ensuivre : la détresse respiratoire. Par rapport à cela il y a d’abord eu les premières mesures (écoles, restaurants) mais ça n’a pas été suffisant.. La réponse actuelle c’est le confinement
Mais on parle de quoi en fait ? On parle de protéger les personnes fragiles par le confinement des personnes qui pourraient leur transmettre.
Par ailleurs, ce qui est en jeu c’est l’immunité des personnes ! Et qu’on a du pouvoir dessus . Tous ce qu’on peut apprendre sur l’immunité… peut nous servir toute la vie
De nombreux auteurs en parle sur le web : En voici quelques uns.
Thierry Casasnovas
Dr Stéphane Résimont
Pr Henri Joyeux
Anthony Berthou
Bruno Lacroix
Et tellement d’autres…
Il y a aussi des informations venant des mes 3 années de médecine et des 2 années de naturopathie (Prof Brigitte M.F, ou autres) et d’autres sources.
Sont rassemblées des informations, présentées le plus pratiquement possible. On parle :
de l’esprit (des relations, des pensées, de l’importance d’une vie zen)
de l’alimentation quotidienne, essentielle bien-sûr : les bonnes habitudes
faut t’il se complémenter et de quoi ? On se pose souvent la question.
bien associer les aliments : réflexes simples.
Schéma du système lymphatique : il permet de faire circuler le fluide interstitiel et de nombreuses cellules immunitaires. Au niveau de l’intestin c’est par lui que passe les acides gras à chaîne longue pour arriver dans la circulation sanguine.
Comment on entretient son immunité ?
On a :
le volet psycho – socio – émotionnel
le volet physique
Les deux sont liés.
On parle ici de règles communes. Pour l’alimentation chacun a sa propre sensibilité aux choses (par exemple en matière d’intolérances). Il est important d’adapter ces informations avec son expérience propre et son ressenti personnel.
Psycho -socio – émotionnel
On sait que la psychologie est essentiel dans le maintien de l’immunité. C’est le cas pour le stress et l’importance des relations sociales.
Un article de l’Inserm paru récemment en parle
Entre un groupe de souris non stressées et un groupe de souris stressées, lors d’une infection par le cytomégalovirus MCMV, le taux de mortalité des souris « stressées » s’est alors avéré bien supérieur à celui des souris non traitées (90 % contre 50 %).Le stress diminue l’immunité. Et de manière nette. Lien de l’article : https://presse.inserm.fr/quand-le-stress-affaiblit-les-defenses-immunitaires/38527/
Donc restons zen. Dans ce cas on parle d’un stress moléculaire, c’est aussi vrai pour le stress psychologique. En pratique : n’ayons pas peur (Jean-Paul II). “La seule chose dont nous devons avoir peur, est la peur elle-même”. A notre époque ça équivaut à réduire les news télévisés (majoritairement anxiogènes..) qui affectent directement l’immunité ! Regardons plutôt des documentaires animaliers…😊
Physique
Plan des notions abordées
Quid des pâtes (cf. la razzias sur les pâtes…😊) ?!
La nutrition optimale ?
Bonnes associations alimentaires
Prendre une complémentation ?
Toxines classiques : Produits Laitiers de Vache, Glutens, Blancs d’oeufs en trop grande quantité.
Est-ce excellent de manger des pâtes ?
Et bien vu le nombre de français qui sont intolérants c’est une question à se poser. On sait grâce à l’étude du Dr Roger Mussi, que 53% des personnes présentent une sensibilité au gluten non-cœliaque. Jusqu’il y a peu on pensait que seul 1 à 2 % de la population ayant la maladie cœliaque était affectée par le gluten des blés modernes. Cette étude a apportée la preuve qu’il existe une sensibilité au gluten non-cœliaque. Et comme la grande majorité des pâtes consommées est fabriquée avec des blés modernes…
Les pâtes peuvent tout à fait être sans gluten également : riz, sarrasin ou autre (lentilles,…).
A minima : manger le même volume de légumes que de pâtes (si possible au moins 50 % crus, pour la préservation des vitamines).
Pour vous qui aidez les personnes fragiles.
Ce qui est recommandé. : végétal +++, cru > 50%, sur sol-vivants (micronutriments). C’est essentiel pour avoir les micronutriments nécessaires. Ceux-ci viennent des plantes donc du sol… c’est pour cela que la provenance des produits est essentiel.
Avoir au moins 50% des apports végétaux crus est important pour l’apport en vitamines. Personnellement je considère que le cuit nous apporte aussi des services.
En pratique : une salade composée : salade, betterave, carottes, ….et herbes aromatiques avec une vinaigrette contenant de l’huile d’olive, de cameline, de colza; au déjeuner et au dîner.
Les bonnes associations alimentaires
C’est la façon avec laquelle on associe les aliments. C’est bon pour la vie de la flore intestinale. Dans le cas inverse on crée de la dysbiose.
Le principe de base est simple : quand on mange des protéines, elles sont digérées dans l’estomac et cela prend du temps. Les glucides (pâtes, riz, pain, légumes féculents : pomme de terres) et lipides sont digérés dans l’intestin grêle. Quand on mélange glucides et protéines; les glucides ont tendance à fermenter.
Oui
légumes verts + glucides
légumes verts + lipides
protéines (viandes, poissons) + légumes verts.
Non
protéines + glucides
Les fruits soit avant le repas (20 min avant), soit dans l’après-midi. Pas en fin de repas (crée une fermentation des glucides).
Faut t’il prendre une complémentation ?
Pour les personnes fragiles, si on peut se le permettre je le recommande (surtout en ce moment).
Oméga – 3
Vitamine D
Vitamine C
Zinc
Les oméga – 3
Les oméga – 3 : sont anti-inflammatoires. Bon pour le coeur et le cerveau. Les molécules sont au nombre de 3 : ALA ou Acide alpha-linolénique EPA : Acide Ecosapentanoïque. DHA : Acide Docosahexanoïque. Contribue au fonctionnement normal du cerveau.
Dans l’alimentation, ils sont présent :
ALA : Dans les huiles : huiles de lin, cameline, et chanvre. Dans les oeufs de poules nourries avec une proportion de lin suffisante.
EPA et DHA : poissons gras : sardines, saumon par exemple.
ALA est un précurseur de EPA et DHA.
En complémentation Pour soutenir l’immunité la complémentation est recommandée. Plusieurs marques en propose dans le commerce : Solgar (excellente qualité), Super Diet, et un bon nombre d’autres ! En général sous forme de gélule parfois transparentes contenant l’huile de poisson sauvage. Quand les prendre ? Les fabriquants indiquent pendant les repas, toutefois c’est aussi possible à jeun le matin.
Etudes sur la vitamine D partagées par le Dr Stéphane Résimont sur sa page facebook
Vitamine D : Besoins recommandés : 5 à 10µg / jour En pratique cela équivaut à consommer du poissons gras 1 fois par semaine, 2 à 3 œufs par semaine et bien s’exposer au soleil (UVB) à minima 20 minutes par jour. Complémentation recommandée La vitamine D a de nombreux rôles : Elle permet notamment le maintien de l’intégrité intestinale, l’absorption du calcium au niveau de la barrière intestinale, dans les os.
Vitamine C
Vitamine C La vitamine C joue un rôle essentiel dans l’immunité. Selon certaines études, plus de 20% des hommes ont un taux bas de vitamine C. Cela peut être du à une alimentation trop industrielle (même si riche en fruits et légumes). On sait que les taux de vitamine C sont très bas dans les fruits et légumes industriels comparés à l’agriculture biologique.
Avant une complémentation, on peut faire en sorte dans un premier temps d’avoir la vitamine C en quantité suffisante dans son alimentation.
Les sources
les agrumes si bien tolérés : citron +++, orange, pamplemousse.
les autres fruits (cassis, kiwi, fraises, litchi, mangue, groseille, mûres noires, melon, fruits de la passion, nectarine, framboises, myrtilles, …),
En pratique : un ou deux fruits crus par jour (bios; en dehors des repas), une entrée de légumes crus, de la salade, du persil tous les jours (ou le plus régulièrement possible).
Le Zinc Besoin pour un adulte : 10 à 12 mg A l’heure actuelle de nombreuses personnes montrent des carences. Dans l’alimentation : 1 fois / sem. des huîtres ou autres fruits de mer, du foie du bœuf. Les végétariens peuvent consommer un à deux œufs / semaine et une à deux parts de fromage/semaine, des céréales complètes, des légumineuses et des graines oléagineuses (graines de courge +++). Complémentation recommandée surtout en cette période.
Vous trouverez sur cette page des informations à propos des intolérances alimentaires.
Quels peuvent être les signes ou « symptômes » visibles d’une intolérance en pratique ?
Si vous souhaitez en avoir le cœur net, vous pouvez faire un test d’intolérances alimentaires.
Les tests IMUPRO
Comment ça se passe ?
Sources : les sources de tout cela
Saviez – vous que les aliments que vous consommez peuvent créer des anti-corps (IgG), c’est à dire être une source d’inflammation qu’on essaie d’éviter en santé naturelle ? Pour voir les études déjà réalisées : cliquez ici
Non, vous ne le saviez pas ? Et bien c’est normal, ce n’est pas votre faute puisque c’est quelquechose dont on parle très peu . On pense toujours aux virus (si vous voyez ce que je veux dire en ce moment, Covid..), aux bactéries, aux champignons. Et pourtant la première source d’inflammation (dont les anti-corps font partis) dans un organisme ce sont les produits alimentaires qu’on ingère tous les jours.
Pour les aliments qui déclenche cela ça dépend des gens : pour les uns ça peut être les produits laitiers (pas pour tout le monde), les glutens de blé(53% de la population a une intolérance non-cœliaque aux glutens de blé), le blanc d’œuf (plus de 50 % de la population a un intolérance aux protéines du blanc d’œuf, et d’autres aliments (dont parfois la seule manière de le savoir est de faire un test d’intolérance alimentaire).
Quels peuvent être les signes ou « symptômes » visibles d’une intolérance en pratique ?
Là où c’est intéressant c’est qu’on peut en ressentir des effets avec des affections du quotidien dont on ne comprend pas nécessairement la cause.
Ça peut être :
nausées, ballonnements
Syndrome du côlon irritable, diarrhée, constipation
SGNC (Sensibilité au gluten non Cœliaque)
Maux de tête, douleurs chroniques, migraines
Problèmes de poids, obésité
Malaises gastro-intestinaux
Eczéma, problèmes de peau, problèmes de peau de type dermatite atopique
Psoriasis
Maladie de Crohn.
Vous souhaitez savoir pour vous, vos enfants ou votre entourage ? Les grandes intolérances sont partagées par une grande partie de la population. Ce sont :
les produits laitiers de vache, avec les protéines du lait et le lactose
les gluten de blé
le blanc d’oeuf
Si vous souhaitez en avoir le cœur net, vous pouvez faire un test d’intolérances alimentaires.
Les tests IMUPRO
Le laboratoire R-Biopharm (Allemand) fournit un test d’excellent qualité appelé IMUPRO.
Il y a plusieurs formules de tests en fonction du nombre d’aliments testés.
Il s’agit d’un prélèvement sanguin de quelques millilitres (c’est très peu comparativement à une prise de sang standard).
D’abord
avant cela il vous fait choisir un test IMUPRO parmi ceux mentionnés ci-dessus.
Le Kit de prélèvement vous est envoyé par voie postale et vous pouvez vous faire prélever.
Le prélèvement & l’envoi
Ce prélèvement peut être réalisé à votre domicile grâce à un ou une infirmière libérale.
ou dans certains laboratoires habilités (qui possèdent le test) .
Une fois le prélèvement effectué, vous renvoyez le kit par voie postale également à l’adresse indiquée. Pour cela rendez-vous simplement dans le bureau de poste le plus proche et votre postez votre colis comme il se doit.
Le prélèvement est ensuite analysé selon : la méthode Elisa. Les anticorps spécifiques d’aliments sont dosés.
Les résultats
15 jours – 3 semaines après : vous recevez les résultats par voie postale. Joint à cela un guide d’explication des intolérances.
Comment se présente les résultats ?
(en construction).
Où sont les laboratoires habilités ?
Tout les laboratoires peuvent en principe effectuer le prélèvement. Vérifier à l’avance avec eux si vous souhaitez faire le prélèvement via un laboratoire. près de chez vous.
Se faire prélever à domicile
Pour cela un infirmier ou une infirmière libérale peut vous faire le prélèvement.
C’est possible grâce à un kit de prélèvement.
Pour la fiche à remplir pour obtenir le Kit de prélèvement, les différents tests et les aliments couverts : cliquez ici !
Consultation de naturopathie
Pour pour plus d’informations : vous pouvez prendre rendez-vous pour une consultation de naturopathie (en direct ou en visio). Je me ferais un plaisir de répondre à vos questions et vous éclairer sur le sujet.
SOURCES
Sur les liens entre l’alimentation et l’inflammation
L’alimentation ou la troisième médecine, Dr Jean Seignalet.
Du pain fait à base de farine ? et non ! A base de blé ? toujours pas ! A base de graines de sarrasin seulement ! C’est la recette scoop du moment. Avis à tous les intolérants aux glutens (voir le dernier Cash Investigation), le sarrasin est une bonne source de glucides.
Qui essaye ? moi je me suis fait mon avis… Ce pain est absolument génial.